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Bhoys on tour du 29 au 31 octobre 2024!!!!!!!

BHOYS ON TOUR

Déplacement à Glasgow, Celtic Irish Club Marseille 2024.
Mardi 29 Octobre
Après quelques rebondissements et des annulations (Ryanair ta mère), les celtes se donnent rdv à 14h30 à l’aéroport. A ma plus grande surprise, tout le monde est présent et à l’heure… En effet, ce n’est clairement pas vrai.
Un petit groupe d’irréductibles commence déjà à se faire remarquer dès le début du trip. « et ouais on buvait des pastis sur le vieux port » commence par se justifier le non moins célèbre Diablolito qui alimentera une grande partie des anecdotes de ce séjour.
On passe les contrôles sans embuche, même Bardy qui malgré ses efforts, évitera la fouille approfondie. Jo commence en mettant Seb dans la merde à cause de .la taille de son sac, il répliquera par un sérieux mais sec « en quarante, je n’aurai pas aimé être vos amis ».
Le vol se passe, Alain est sauvé, il est au premier rang et ses jambes sont libres, Alex enchaine son quatrième gin tonic, petite douceur sauce Ryanair, chaude et sans bulles.
L’arrivée à Edimbourg est saisissante, 20 degrés dans la gueule, on met les vestes, Darma insiste déjà, « ne sortez pas les couleurs, c’est chaud ici ». Diablolito pète un cigare dans la file d’attente du bus mais Sir Alex veille au grain et d’un écossais parfait, il lui hurle dessus que c’est non-fumeur, il ajoute même « inculé de marseillais », le célèbre Airdryer.
Après une heure de transfert orchestré par maitre Jo, nous sommes enfin à Glasgow et le long périple commence. Nous attaquons la première demi-heure de notre diagonale des fous et nos futurs 175 kilomètres parcourus en 36 heures. En effet, nous les néophytes apprendront à nos dépends qu’à Glasgow toutes les choses sont à une demi-heure de marche, et les vieux, ils aiment marcher.
Passage par l’hôtel, sans fioritures, on pose simplement les affaires car nous avons grande soif.
Direction l’Oran Mor (ou « nique tes morts » ou »au rat mort » comme Jo aimera l’appeler par la suite et les 120 euros de cautions débités…), une demi-heure de marche et la cathédrale apparait au milieu de nulle part. Monseigneur Alain dit « le grand » ouvre la marche suivit par ses disciples pour gouter les délices de la paroisse locale.
Au menu, des pints, des pints, pas d’entrée (ah bon ?), des pints, du Haggis, pas de desserts (ah bon ?), des pints puis vient l’heure du calice Whisky, spécialité de la maison. La bible est posée sur l’autel et nous commençons la lecture des sacrements (300 types de Whisky disponibles). Nous en commandons quelques-uns mais Diablolito perd la tête et les derniers soubresauts de raison qu’il lui reste. Il enchaîne les commandes.
Une première scission à lieu, un petit groupe prend le large en direction d’Argyle street (et son ambiance enflammée…) tandis que Diablolito et Bardy commandent leur douzième verre. Une demi- heure de marche plus tard, rien ! Tout est fermé ! Mais dans la pénombre une lueur apparait : Karrie.
La parfaite définition de tous les fantasmes masculins. Une taille de guêpe, une allure raffinée ponctuée d’une classe naturelle qui laisse Brice sans voix. Elle lui demandera poliment en français dans le texte « montre-moi ta Bite ». Tout le monde reste subjugué, les cocktails aidant, nous enchainons sur Le Maxi’s et sa célèbre descente aux enfers. Une demi-heure de marche plus tard, l’ambiance est bonne enfant, Zendaya sur l’écran géant nous permet d’oublier un instant Karrie. Pris aux pièges, les celtes font face et d’un élan de bravoure, Ju entame la descente vers les enfers. 5 minutes d’une intense expérience dans les méandres du Glasgow nocturne.
Vers 3h, le groupe complet se réunit pour une dernière expérience culinaire afin de réduire au silence cette maudite fringale nocturne. Le choix est évident, une belle broche kebab soignée et travaillée par artisan du gout.

Mercredi 30 octobre
Quartier libre jusqu’à 14 heures, certains se lèvent tôt, d’autres moins. Visite de la ville, breakfast, balade ou repos. Les celtes se dispersent en petit groupe mais tout le monde passe par la boutique officielle du club. Darma nous prévient à nouveau « attention aux couleurs en ville les gars ».
Le 14 heures se transforme en 15h30 mais c’est enfin le moment. Départ vers la paradise, avec arrêt tout le long du chemin dans tous les pubs qu’on croise. 1 heure de marche, un nouveau périple stopper en pleine course par l’arrivée d’un bus qui mène directement aux quartiers pro Celtic.
Personne n’hésite, on s’économise une demi-heure de marche et on se laisse du temps pour davantage de houblon !
Arrivée sur Gallowgate et arrêt au Barra’s Market, nous sommes dans le dur, le vrai Glasgow. Pluie fine, ciel gris, quartier dégueulasse et des pubs pro Celtic ! Sarracen Head en vue mais nous optons pour le Traders tavern. Nous ne sommes pas déçus ! Nous poussons la porte battante et découvrons un lieu coupé du monde et du temps qui passe. Pas de fenêtre, un espace éclairé par des néons, une odeur lancinante, un billard en plein milieu, des courses de chevaux. Mais surtout des écharpes, des
drapeaux, des maillots, des stickers partout et des bières ! Après une commande, la serveuse engage la discussion, on ne comprend rien, un papy qui tremble comme une feuille nous sourit un verre de Whisky à la main et une canne dans l’autre. Nous sommes heureux et eux aussi n’ayant pas vu de nouvelles têtes depuis 1992. Les pints s’enchainent mais il est déjà l’heure de continuer vers d’autres cieux, d’ailleurs Bardy est déjà parti !
Nous optons pour London road et une demi-heure de marche plus tard nous y sommes, il est là : the Paradise, le Celtic Park est sous nos yeux. Passage rapide par la boutique et direction le 1888. C’est blindé, ça chante, ça boit. On se fraie difficilement un chemin jusqu’au comptoir pour passer commande puis on découvre un lieu chargé d’histoire, celle du Celtic mais aussi celle de l’Irlande (ces immigrés en Ecosse fondateur du club et les combats pour l’indépendance). Les vessies pleines, nous
regagnons le stade puis la travée 118. Pas de fouille, pas de file d’attente, pas de barrières. L’escalier nous mènes vers la lumière et le vert et blanc devient roi. Une pelouse parfaite et un stade qui respire le football. Nous prenons place et 5 minutes avant le coup d’envoi le stade se remplit d’un coup, les deux équipes rentrent sur la pelouse dans une ambiance bonne enfant, les supporteurs de Dundee sont à 50 mètres, sans parcage, sans animosité. Le match commence, le celtic impose tout
de suite sa pate et monopolise le ballon. Dundee se contente de défendre bloc bas et le gardien dégage le ballon le plus loin possible dès qu’il en a l’occasion. Malgré un premier quart d’heure intéressant, très vite la possession devient stérile et nous avons très peu de chose à nous mettre sous la dent. Mi- temps, 0-0, « Jo inculé de chat noir ». Le match reprend sur le même rythme, le stade et les joueurs ronronnent, Brendan Rodgers passe à l’action. Quadruple changements et très vite la vie reprend. Le
Celtic ouvre la score puis double la marque dans la foulée sur un penalty avec un arbitrage maison.
Le stade frémit mais la green brigade peine à maintenir l’engouement. Le stade se vide petit à petit, 10 minutes avant la fin du match (22h les écossais ne sont pas de la nuit). Au coup de sifflet final, les joueurs s’offrent un tour d’honneur d’un stade vide pour fêter la victoire. On en profite pour descendre le long de la pelouse et sortir la bâche afin d’immortaliser l’instant. Nous on est chaud.

Retour au 1888 pour fêter ça et c’est blindé (quand même il y a un peu de vie chez les écossais après 22h). Les pints défilent. Diablolito et son fils gobent les Guiness comme des shooters (aux détriments de notre odorat, le mélange guiness et kebab de 3h du mat n’est vraiment pas bon), les Celtes enchainent « les dernières bières et on y va », au grand dam de Jo qui a faim et n’en peut plus. Alain profite de ses 3m50 pour débrancher la sono du mec qui hurle avec un maillot du Celtic et sa guitare
(en vrai c’était bien mais trop fort). On pousse bien évidemment jusqu’à la fermeture puis retour en taxi, on en peut plus de marcher « mon vié maintenant ». Il est minuit et demi, réveil est programmé dans 3h30 pour un transfert vers Edimbourg et le vol pour Marseille (Ryanair ta mère).
Dur retour à la réalité même si le soleil et la chaleur de Marseille sont un plaisir au sortir de l’avion.
Merci à tous pour ses 36 heures folles et intenses, merci surtout à Jo pour l’orga !
HAIL HAIL THE CELTS ARE HERE !
Max

Corse : petit deplacement chez gilles

VOILA LE RESUMALE de Alain

corse 2024

Voyage du vendredi 14 juin au lundi 17 juin

Participants

Darma

Gilles

Virgile

Jean Luc

Nabil

Jonathan

Arnaud

Bruno

Stéphane

Alain

Absents et excusés tonton et le boucher

Tout commence vers la mi mai.

Jo et Virgile me téléphonent.

Hello le grand notre ami gillou de la night nous invite 

à prendre le maquis : direction la Corse.

Mon billet pour l ile de beauté en poche toulon bastia

aller et retour nous voilà fin pret pour aller visiter les plus 

belles plages du monde.

Voici le programme des hostilités :

 vendredi traversée avec clocharland petit match au bar notre équipe est scindée

6 à l’avant et 4 à l’arrière plus moi qui fait des aller retour.

Au menu fromage vin bière gros apéro pour la team darma.

A l avant gillou nous entraine au Patrimonio.

A l’arrière nous avons du chateau Viran rosé avec achat de glaçons s il vous plait.

L’allemagne gagne facilement et nous on débat et surtout on drague.

C’est en réalité une jeune fille qui nous demande de l’aide ou alors 

une place dans la cabine va savoir mais évidemment on est assez

entamés et en bon pédé on décline l’invitation et on snobe la

demoiselle qui du coup est toujours pucelle ou pas d’ailleurs.

La nuit est trop courte surtout pour Jean on arrive à Bastia de très bonne 

heure.

On roule une petite demi heure direction saint florent.

Pause photo en haut du col.

A l’arrivée on prendra un petit déjeuner en terrasse.

La team chocolatine gagnera contre la team croissant.

On fait les courses puis départ en zodiac avec 10 celtes corse.

Darma plutot à l aise fait du ski nautique et bruno joue au foot.

A 10 heures on arrive à Saleccia.

Cette plage est paradisiaque, splendide, époustouflante et

déserte.

Enfin plus pour longtemps au menu foot raquette et tennis

baignade masque et tuba puis petit pique nique sous le parasol.

Et un drame arriva : tel une série netflix le sac pour le pique nique

a disparu ???

Commence une véritable chasse au trésor puis une enquète pour

retrouver la pitance et surtout on va manger quoi???

C’est alors que 2 équipes vont se former la team paillotte avec capitaine

virgile en quète d une nouvelle décoration pour son bistro et la team

stéphane bronzette farniente apéro puisque la carlsberg est restée sur 

le parking.

A 13 heures bateau mais la mer est formée et agitée et on va perdre 

notre président qui a déjà enfilé son gilet de sauvetageet récite le

you’ll never swim alone en corse pour patienter.

Arrivée à quai le fameux sac de victuailles avec mes oreo

est bien là rangé dans la voiture.

On prend la route de chez Monsieur Dargent petite halte chez Patrimonio

avec quelques cadeaux tel de la myrte et des magnum blanc et rosé.

C’est pas comme si on n’avait pas déjà une petite centaine de bières

à engloutir mais nous y reviendrons plus loin ou plus tard.

La répartition des chambres est aisée mais Bruno qui dort avec darma 

nous fait le coup du marteau.

Il grimpe sur une échelle pour aller taper le cu…..mulus bande de petits pervers.

Merci bruno gràce à toi cela va nous fournir de l’eau chaude et caliente

pour le week end.

Arrive l’heure du gouter mais là erreur fatale c’est en fait la Patrick Time.

Nous retrouvons chez lui un joueur corse que nous avions affronté il y a 5 ans.

Pour se faire pardonner de ne pas avoir trouvé de bergers afin de faire le 

match retour il nous sert un énorme apéritif.

Au menu casanis bières pietra et 1664.

Stéphane est sous perfusion et nous plongeons tous dans un état second.

Arrive l’heure du repas et là misère une soirée électro est organisée à 

Brando et nous allons à Erbalunga donc on doit trouver 2 chauffeurs

sobre ou du moins pas trop amoché sinon gaffe aux condé.

Je remercie au nom des dix participants à la fete Jo et Virgile qui non 

seulement nous ont conduit jusqu’au restaurant mais ont bu des soft

toute la soirée pour nous ramener gentiment à la maison.

Le resto est très sympa darma a mangé son entrecote virtuelle

on a eu droit a des pizza de la charcuterie corse de la polenta

et un fiadone.

Miam tout était succulent.

Au retour digestif chez gillou on s’enfile la myrte puis dodo.

Petit réveil en douceur café puis bain à la plage.

Visite du village repas sur la table en pierre avec bites à l’air.

Apres midi cool partie de boules ménage de la maison et bateau.

On envahit un salon et un membre arrivera à écrire sur la télé pendant

le match DARMA C EST UN PD.

Retour en cabine puis courte nuit et demain au boulot.

Merci président pour ce week end merci les amis pour 

l’ambiance les rires les bains dans la méditérranée.

Merci steph pour les bières et il en reste je crois dans la glacière.

Merci Jo pour cette organisation aux petits oignons next time berlin.

Merci gillou pour tout 

Je suis venu jouer avec toi il y a 5 ans.

Je suis revenu en week end gràce à toi et je t’en remercie

sincèrement.

Ces moments seront gravés à jamais dans mamémoire et pour 

finir je vous aime.

See you soon

Alain le grand

Tournoi Amsterdam 2023 vu par Nabil !!!!

Tournoi de Foot à 7 « CIC Vétérans à Amsterdam »

Début du séjour à Amsterdam pour le tournoi de Foot 7×7 le vendredi 26 Mai 2023 organisé par Jo Cullia.

Certains d’entre nous sont arrivés mercredi soir pour profiter un peu plus d’Amsterdam et le reste de l’équipe arrivera le vendredi soir, ci-dessus l’effectif de l’équipe vétéran au complet :

Jo Cullia, Virgile Burzio, Jean Luc Bardi, Franck Bardu, Alain Frisoni, Jerome Callot, Nabil Ouajjou

+ Les renforts des équipes seniors : Anthony sabourin, weeeeeeeee et Yan

Coach : Jo Cullia
Supporter : Manu Joly

Match : 1x 25min

Nous logions tous dans un hôtel en périphérie d’Amsterdam au pied d’une bouche de métro, donc bien pratique pour se déplacer au centre-ville.

Vendredi soir, on décide d’aller manger en ville entre vieux et moins vieux vétérans pour s’immerger dans la culture et l’ambiance néerlandaise, on choisit donc d’aller à un resto chinois « logique » qu’on avait testé et apprécié mercredi soir avec l’équipe réduite.

Jean Luc et Jérôme ont dégusté un super plat épicé « immangeable » et francky était content…puis nous sommes allés finir notre soirée en allant boire un verre dans un bar ultra touristique.

Samedi matin réveil matinal, car petit dej imposé à 7h45 pour notre équipe ! afin d’éviter l’embouteillage au self, puis départ pour le complexe sportif pour débuter le tournoi.
Premier match à 11h contre l’ES Bouvignies puis à 12h contre FC Franconville, 2 équipes françaises bien moins fortes que nous que nous gagnerons 4-2 et 5-2.

3 ème Match se déroulera à 13h disputé contre une équipe de la région parisienne originaire de Madagascar

ASGM, une très belle équipe qui a bien l’habitude de jouer entre eux et qui finira par s’imposer 2-1.

On finit donc avec 2 victoires et 1 défaite pour samedi et on passe le reste de la journée à supporter nos 2 autres équipes seniors. « CIC BPA7 + CIC D » puis repas sur place « burger local + brochette de volaille avec sauce au beurre de cacahouètes » et bières…

Fin de journée, on rentre à l’hôtel pour se doucher et se reposer puis on repart direction centre-ville pour y passer la soirée et essayer de voir le match de l’OM dans un bar avec les joueurs de la D mais se fut un gros flop…car un des barmen a passé 15 min à défiler les chaines pour le match mais en vain…

Nous décidons donc entre vieux de se faire un resto « local » contrairement à la veille ! On s’installera finalement dans un resto a fromage fondu !!! Mais bon, nous avons bien mangé c’est l’essentiel…

Dimanche Matin, Re-réveil Matinal mais beaucoup moins de monde au self

1 er Match à 11h30 contre Sky Foot une équipe de Fréjus

Nous étions à ce jour une équipe assez amoindrie physiquement et surtout sans remplacent en tous cas pour ce match. Nous finirons par perdre logiquement 3-1

Dernier Match, contre l’équipe du club local « FC Abcoude » la seule équipe non française que nous affronterons.

Une équipe très sympa que nous gagnerons 4-2 en mettant du temps à prendre le dessus tout de même !

D’après un calcul savant de Virgile, nous serions classés 8ème sur 24 équipes !

En fin d’après-midi certains d’entre nous irons acheter quelques souvenirs au centre puis plus tard nous nous retrouverons entre vieux pour dîner dans un pub irlandais et ensuite nous irons boire un verre dans un très joli bar !

Plus tard dans la soirée une partie de l’équipe rentrera à l’hôtel et d’autres iront s’aventurer dans un autre lieu…

Lundi matin, nous déciderons d’aller visiter le stade « Joan Cruyff Arena » en visite guidée « en anglais »

J’ai compris le ¼ de ce qui a été dit mais c’était bien sympa ! Puis nous mangerons ensemble à proximité avant de rentrer à l’hôtel pour récupérer nos bagages et rentrer sur Nice en avion

Puis à Marseille en co-voiturage

Je retiendrai de ce séjour !

Un partage et une découverte de la gastronomie hollandaise, les coups de soleil, « la gaufre à 15 euros »  Francky qui radote et qui nous fait écouter des sketchs douteux. Jo jaloux de mon sens d’orientation inné « GPS Marocain » et Manu qui a faim et qui cherche les chiottes, Jérôme qui s’énerve, Jean Luc un peu/beaucoup perdu et qui a soif, Virgile qui parle de foot et qui raconte des blagues à tomber, la découverte d’un grand gardien Alain dans les 2 sens du terme, moi qui gueule sans arrêt sur le terrain et meilleur buteur de l’équipe « je sais je me la pète 😀 »

Je finirai, en remerciant Jo pour l’organisation!

Je me suis régalé les potos et j’espère qu’on refera ça bientôt

Nabil

Week du celtic irish club à Theoules sur mer du 4 au 5 juillet 2020!!!!!

Résumal by darma
Week end de déconfinement à Théoules sur mer organisé par l’un de nos maître Organisateur Gilles D. le samedi 4 et le dimanche 5 juillet 2020.

En avril pendent le confinement je reçois un appel de Gilles qui me parle d’un week a Theoules après le confinement.En avril, je suis assez pessimiste mais vu la motivation et l’optimisme de notre gilles de la night, je lui laisse carte blanche, avec une petit participation financière du celtic irish. Les invitations sont lancés par mails, et rapidement gilles à 24 à 25 noms. Le déplacement est limités a 20, donc ce qui déterminera le projet sera la rapidité a payer gilles pour faire parti du déplacement. La liste bougera un peu avec deux désistements de taille Hugo notre portugay et manu gineste a cause d’une futur opération du poignet et sa légendaire poisse. Geoffrey fera aussi parti du voyage après une petite incompréhension avec notre GO, nous serons donc quand même 20!!!!!!!!!!!!!
CIC V11 Gilles DARGENT

CIC V11 EMMANUEL JOLY

CIC V11 Philippe Catanese

CIC V11 Stéphane Blanc

CIC V7 Sylvain Darmagnac

CIC D Macara Long

CIC V11 Alain Frisoni

CIC A Franck BARDU

CIC D Anthony Esposito

CIC V11 Hachette Geoffrey

CIC V11 MICHAEL DECHELETTE

CIC A jean-luc Bardy

CIC V11 Nabil Ouajjou

CIC D Jonathan Cullia

CIC A Jérome Bazeille

CIC D Guillaume CUERQ

CIC D Hugues Navarro

CIC V11 Chris Garriguenc

CIC V11 Stephane TREMOLIERE

CIC V11 Xavier SOUTO

Pendant le confinement nous sommes en plein doute sur le bon déroulement du projet, puis début de déconfinement début mai, lueur d’espoir, et enfin la délivrance le jour J avec rendez vous à 7h00 du mat’ à notre QG. Tout le monde est à l’heure à 4 minutes près(même monsieur Bardy et monsieur Garriguenc), quelques gars à prendre au passage à pas de trets, et le convoi disséminé sur la route arrive autour de 9h00 à notre lieu de villégiature, un peu plus loin que Theoules. Les Vtt électriques sont déjà en place, les 4 moniteurs sont également la, habillés, Laurent le responsable de la villa et de la sortie Very Bike Trip, nous laisse le temps de sortir les affaires de voitures, boire un café, s’équiper en eaux, et nous prenons en main nos vtt, apprendre les vitesses et l’utilisation de « l’électrique », le secret du circuit de 38 km concocté par nos accompagnateurs.

Jour 1 :
Décollage de la villa vers 10h00, pour 3h00 de péripéties, pèle mêle le pic de l’ours, le lac des écureuils, les photos ça parle pas, des montées en mode turbo, des montées en mode je mouline comme un jobard, il se reconnaîtra, des descentes au ras du ravin, des descentes paf le chien « pizza party », le groupe étaux, le premier de la classe toujours devant (il est grand, très grand), certains font du vtt et des selfies en même temps, petite crevaison pour jo, des vidéos(bientôt le film Very Bike Trip), des bras en marmelade, des entrecuisses bien endolories, des paysages magnifiques, vue sur la mer(de qui???), bref un bon moment avec quelques attentes parfois du groupe étaux (espo, darma, mimet) mais dans l’ensemble tout le monde a suivi le rythme des accompagnateurs.
Vers 13h30 retour à la villa, début d’apéro(merci steph KRO, steph carlsberg en l’occurrence), du rosé gris, avec différentes salades, chip’s, wraps de toutes sortes, douche/bain/pause caca pour d’autres((et le vainqueur est M… J…).Des bonnes parts de gâteaux pour finir. On se met bien!!!Manque quand même 3 ou 4 sac poubelles sa race. Pause café, on range un peu histoire de pas trop en foutre partout d’entrée de jeu.
Petite surprise de tibo chinois qui vient nous faire le coucou et jouer 1 ou 2 matchs de soccer avant de retourner garder son filleul. Ca fait plaiz!!!!!!!!!!!Double papa le type!!!
Pause transat pour les uns, visite du manoir(the villa) pour les autres, quelques intonations sèches de la part de guillaume et geo « paypeur paypeur Bro » (mots volontairement francisés pour un meilleur souvenir auditif), partie de boules endiablés et apéro avant de partir à la plage de la figueirette pour le tournoi internationale de beach soccer avec la France, l’Espagne, le Panama, Costa rica et compagnie!!!!
IL est 17h00 lorsque le cic quasi au complet se retrouve près du terrain délimité par quelques bandes rouges et blanches. Y’a degun!! Bon ok on se baigne, le premier de la classe d’entrée dans l’eau avec son ballon de volée, une vrai locomotive cet Alain, un bout en train, tu me régales frérot!!!!Un peu ou beaucoup de baignade c’est selon, les organisateurs du tournoi arrivent et mettent en place les limites du terrain et les cages. Un équipe de théoules se pointe, nous et puis voila. Finalement des jeunes s’inscrivent aussi, le cic fait 3 équipes de niveaux plus ou moins égalent avec des joueurs qui feront tous les matchs dans toutes équipes du cic.
Mini championnat avec 5 équipes, les premiers matchs sont difficiles le temps de désaouler un peu, s’habituer a l’odeur sa race, et apprivoiser ce tain’ de ballon. Pendant ce temps un celte résiste a l’appel du ballon sur son ponton au loin, sous le soleil de figueirette!!!!!
Les matchs s’enchainent, l’équipe de theoules enchainent les victoires, jusqu’au choc contre une belle équipe du CIC qui met les ingrédients pour battre les invincibles. Devant josé Cobos Himself!!!
Pendant ce temps la un celte se tourne de coté sur son ponton!!Il ne verra pas le prési marquer un joli but dans la cage de hugues, ni les exploits d’espo, ni la foule venu voir les exploits celtes à théoules beach.
Finalement Xavi ira chercher ce celte avant qu’il ne grille sur ce magnifique ponton. Il vient participer au débat, et premier ballon et premier but pour ce goaleador des années 90, mais contre son camp entre les jambes de hugues bien sur!!!!!
le tournoi se termine et voit une équipe celte finir premier, et l’quipe de theoule deuxième. Petit tour de passe passe et finale entre les deux équipes.
Théoules est sérieux, et ne veux pas perdre une deuxième fois, ça rentre un peu, l’arbitre ne siffle pas, et derrière but pour theoules. Puis un deuxième. le CIC aidé par le prési rentre aussi un peu plus et revient au score avec un jaja déterminé. Finalement Théoules met ce troisième but synonyme de victoire et champion intergalactiques de beach soccer.
On s’est régalé, quelques bobos aux doigts de pieds(weeeeeeee ça va « orteils » d’accord), quelques rougeurs sur les corps de nos vieux celtes.
Direction le panama pour boire quelques cerveza servis par mama fanta, et un ou deux mojitos sable pour manu joly; darma se refait le match de ces conquêtes européenne, Cobos vient nous voir pour voir si on s’occupe de nous, et si on avait besoin de quelque chose. Juste une coupe d’europe dira le prési, provoquant la gène pour certains et l’hilarité pour ceux qui le connaissent. Les vainqueurs et l’orga nous rejoignent, on discutent on boit et on commande les pizzas. Petite incompréhension car on aurait pu manger chez josé. bref vers 23h00 on va faire le cabanon a pizza et on trouve la tour de pizze, on a du mal a sortir les belins( sa race 12e la pizze), et on a encore plus de mal a les manger(et oui a cause de la tour). Grand moment de comment dire??? Un peu sèche la paaaaateeeeeee.
Le staff était super sympa, bonne humeur, l’endroit sympa(moins d’odeur lol) mais y’a quand même un gros problème au niveau de la pizze les gars!!!!On va vous envoyer des tutos pizzes. On m’a dit que c’était leur premier soir. Bon bref, ils vont me faire la soirée.
Retour a la villa a pied, avec quelques déplacements de panneaux, de pipis dans les villas, de coucher de lune,on met 30mn a rentrer. Mimet sort son rhum, on enchaîne les canettes, on débrieffe sur les pizzes, j’entend 2 ou 3 paypeur BRO, je vois micka se mettre en position voix polyphoniques corses, on cherche manu joly(mais au fond de nous on sait ou il est), quelques uns vont se coucher, d’autres vont jouer aux cartes en parlant un peu, je réentend paypeur paypeur BRO, il fait bon, jean luc s’est préparé son couchage transat couché de lune, on joue encore un peu jusqu’a 2h et tout le monde va dormir!!!Pas de night pour les celtes!!!!!

Jour 2 : réveil pour les sportifs, manu joly, maca, alain hop hop hop vers 7h00.
Petit treaking pour alain et maca, petit tour en ville pour gilles, darma, jo et manu. Bilan quand on rentre à 10h00, ping pong pour pas mal de celtes, apéro rapide, sangria, rosé gris, barbecue mené de main de maitre par JO et GEO, sauces,pains frais, grosse salades, desserts, paypeur paypeur BROOOO, café, et direction la plage de figueirette pour faire un tour de catamaran à 14h00. On range nos affaires dans les voitures comme ça au retour du cata on cabre sur mars. la plage est fermé!!Etonnant ça…..
Bon moment de détente sur ce bateau avec notre skipper du cru passionné, on voit mieux le pic de l’ours, paypeur paypeur Bro encore entendu, on se trouve une crique et le premier a plonger est évidemment notre locomotive Alain le grand. Il fait tout, paddle, plongée, bouffeur de méduse bref tout. Dj boucher met l’ambiance, gilles fait des selfies avec toute l’équipe, une grosse pensée pour TONTON, après le ponton ben ça sera le filet pour notre poisson pilote celte. On regarde les villas, on se met un peu tous a rêver, on regarde les helicos taxi, les yachts qui nous entourent, paypeur paypeur brooo, la maison de laurel et hardy, la maison lacoste, que des trucs jamais vu, le pic de l’ours, les roches rouges si particulière à cette région de l’estérel, paypeur paypeur GGGROOOOOOO, on remonte l’encre et on fait un dernier petit tour dans cet écrin méditerranéen, on profite des derniers instants , on fait quelques photos dégradantes de gens qui s’endorment dans des positions non validé par l’académie du dodo. Il est 17h00, on récupère nos voitures, on se salut, un dernier paper paper Broth de geo vers guillaume et on rentre sur mars la tête pleine de nombreux souvenirs.
Merci Gilles Dargent

Match amical Vétéran 2018/19 : FC Brandu – CIC : 6 – 3

Samedi 1 er juin 2019 : match amical en corse 18h stade Erbalunga
Fc Brandu – Celtic Irish Club : 6 – 3
résumé hors match du dép en corse by Victor :

CIC : la virée corse

Nous voilà le 31 mai de l’an de grâce 2019, et notre joyeuse bande Celte est fin prête pour conquérir, la Corse. Toute ? non…un village nommé Brandu, peuplé d’irréductibles et composé de multiples hameaux aux doux noms de Castellu ou Erbalunga.
Enfin…ça c’est dans les livres…car dans la réalité ça s’est pas vraiment passé comme ça…
Déjà, car nous n’avons pas conquis grand-chose… force est de reconnaître que c’est plutôt ces lieux qui nous ont conquis. Et loin d’un esprit de conquête, c’est plutôt animés d’un esprit de découverte, de curiosité, de fête, de camaraderie… l’esprit Celte quoi, que nous nous sommes engagés dans cette aventure. Putain, c’est beau ce que je dis…
Mais assez de philosophie…allez hop, suivez moi, je rembobine ma mémoire et je vais essayer de vous conter ce périple, qui a vu nos Celtes débarquer sur ces terres lointaines et pour certains, encore inconnues.
Tout avait débuté par un message de Gillou nous proposant d’organiser un match et donc un séjour en Corse, dans sa région de cœur pour le we de l’ascension. Au programme, croisière en mer, visites culturelles et de loisirs, farniente et surtout un match de gala contre le FC Brandu. Plusieurs Celtes appâtés par un programme aussi alléchant se sont engagés dans l’aventure et Gillou s’est donc chargé d’organiser et de ficeler tout ça d’une main de maître.
Le jour de départ, la fine équipe s’est retrouvée au complet : Gillou (et Caro), Virgile (et Sandra), coach Mimet, Lolobispo, Steph Boucher, Mika, Maca, Tonton, Jean-Luc, Alain le grand, Nabil, Thomas et Victor.
Direction Toulon pour tout ce beau monde et la première étape de l’aventure : la traversée
1. La croisière s’amuse…
Arrivés au port de Toulon, l’entrée dans le navire se fait assez rapidement pour l’escouade celte. Une fois la répartition en cabine effectuée et y avoir déposé ses affaires, on se retrouve tous au bar panoramique pour…se rendre compte qu’on a pas été les seuls à avoir cette idée en fait ! Du monde de partout, qui profite du soleil couchant, mais aussi, de la chaleur humaine qui règne dans cet endroit surpeuplé. Le temps d’assister au psychodrame d’un sac apparemment égaré (qui fait resurgir de mauvais souvenirs à certains) mais qui en fait n’a pas quitté la cabine (tant mieux), nous voilà sur le pont supérieur arrière, guidés par quelques éclaireurs qui nous indiquent qu’il n’y a pratiquement personne au bar de plein air…enfin…jusqu’à ce que l’on débarque quoi.
Et c’est là le vrai départ de l’aventure, sur ce pont arrière d’où nous avons pu prendre l’apéro tout en profitant d’un magnifique coucher de soleil sur le bateau quittant la rade de Toulon.
Nos Celtes profitent de cet instant de convivialité pour faire quelques clichés d’art et d’essai qui resteront pour la postérité.

Et c’est là aussi que la déesse Pietra a commencé à faire son travail de sape pour tenter de diminuer nos celtes en vue du match du lendemain. Sentant peut-être cela, le coach nous regroupe pour un discours mobilisateur ponctué d’un huddle, qui a résonné jusqu’à Mayol, temple du pilou-pilou. On n’imaginait pas encore que l’un d’entre nous, certainement possédé, allait faire appel à une autre déesse, plus exotique, un peu plus tard dans la soirée.
En attendant, l’apéro c’est sympa, mais la nuit tombant, il commence à faire faim ! Toute la joyeuse bande se retrouve au resto, le temps de faire la connaissance d’un serveur souriant, honnête et attentionné envers ces clients…Quoi ? Bon, c’est vrai c’était pas tout à fait ça, mais croiser un compatriote sur la méditerranée, employé par des italiens, entre Marseille et Bastia, et sans qu’il porte une valise en carton, c’était quand même original, non ?…Bon, allez, j’avoue que s’il avait été italien, j’y serais aussi allé de ma petite insulte…
Après s’être rempli le ventre, tout le monde (sauf les filles qui vont se coucher) remonte au bar panoramique histoire de finir la soirée sur une meilleure note. La bonne surprise c’est que les gens de tout à l’heure sont allés se coucher avec le soleil et on est bien plus à l’aise. La mauvaise surprise (qui explique peut-être la bonne) c’est que le bar est censé fermer à minuit et qu’il est déjà 23h30 passées…Pas de quoi démotiver nos celtes, qui ont plus d’un tour dans leur sac. Et c’est effectivement d’un sac qu’est sortie la déesse rhumietra (nom corsisé pour l’occasion), pour laquelle de nombreux celtes ont succombé dès le premier regard.
Et il n’en fallait pas plus pour que résonnent les chants celtes dans ce lieu à l’ambiance feutrée jusqu’à notre arrivée. Cela aura le mérite de libérer un petit groupe de jeunes anarchistes qui profite de l’occasion pour enchaîner ni vu ni connu avec une chanson paillarde. Libère-toi camarade ! Je ne pense pas que le jeune vagabond russe qui s’est réveillé sur le banc d’à côté ait vraiment compris ce qu’il se passait…
Le bar fermant, une poignée de nos Celtes a ensuite rejoint sa cabine pour se plonger dans les bras de morphée, pendant que les autres ont refait le monde, réfléchi à des questions scientifiques non résolues, se sont engagés dans un projet vidéo façon blairwitch ou encore ont en-rhum-é les poissons ayant le malheur de passer le long de la coque du navire.
Tout ce beau monde a fini par se coucher et certainement faire de beaux et doux rêves corsés.
Manque de bol pour certains, c’est à Bastia que nous allions…
Et c’est là, mais je l’avais pas compris au début, que le choix des colocataires de cabine était décisif en fait…Cela allait se payer cash pour certains, qui ont passé la nuit avec un moteur d’engin de chantier ayant travaillé toute la nuit. Au point que le meilleur moment de la nuit pour eux, a peut-être été la voix de la libération, posée, douce et sensuelle inondant la cabine pour annoncer l’arrivée prochaine au port de Bastia.
Descente au parking pour tout le monde, il est pas loin de 7h.
Gilles arbore son plus beau sourire, ça trompe pas, ça y est, on est en Corse !

2. L’île enchantée…

Le temps de débarquer, et de se faire arrêter par la douane pour certains qui ont bien le profil de l’emploi, le cortège celte roule en direction de Brandu, et plus précisément d’Erbalunga. Au programme de la matinée : café et visite du petit port, avant de rejoindre Castellu de Brandu pour engager une petite ballade sur les hauteurs du village et se poser ensuite pour pique niquer.

Nous arrivons à Erbalunga et filons vers le petit port pour une visite matinale en mode excursion guidée. 8h00 : arrêt à la boulangerie. 8h05 : sortie de la boulangerie dévalisée de ses croissants et pains et chocolats. En voilà une qui a dû avoir le sourire d’avoir fait son CA du jour en viennoiseries en 5 min.
« Sourire » en tout cas n’était certainement pas le prénom du serveur du bar où nous nous sommes attablés en terrasse et donnant sur le port. Quelqu’un lui a demandé s’il était portugais ?
Peu importe, nos celtes récupèrent des forces et profitent de ce petit port paisible et calme…sous un ciel bleu et un soleil qui tape déjà fort à cette heure précoce de la journée.

C’est encore plus sympa avec les bateaux quand même, non ?

Le temps d’aller jusqu’à la tour génoise qui veille sur le port, puis nous faisons un crochet par le Vival où chacun choisit la composition de son pique-nique, qui aurait effrayé (pour certains) un nutritionniste sportif, même si dans l’ensemble, nos celtes sont raisonnables en prévision du match de l’après-midi. Nous regagnons le parking après avoir observé le ballet de plusieurs voitures de rallye qui traversent le village. Ils savent recevoir les corses, c’est sympa d’avoir prévu cette animation pour fêter notre arrivée.

Direction maintenant Castellu, il paese de Gilles, situé sur les hauteurs d’Erbalunga. On découvre un beau village accroché à flanc de colline, surplombé par les ruines d’un vieux château et parcouru par un petit cours d’eau qui serpente en fond de vallon. La maison familiale de Gilles est une belle bâtisse du 17/18e à l’entrée du village. Bien !

Le temps de découvrir les lieux pour ceux qui dorment là (les autres sont logés à Mausoleo, le village d’à côté) et tout le monde est prêt pour la balade concoctée par notre guide. Mais ce sera après un « atelier électricité » qui s’est improvisé, suite à un souci avec le tableau général de la maison des parents de Gilles.

Le groupe de randonneurs prend finalement le départ de la ballade. C’est pas de la grande randonnée mais il fait très chaud et tout le monde fait l’effort. C’est dans une ambiance de colonie de vacances que nos celtes profitent de la vue magnifique en balcon sur le village et la mer. Gilles en profite pour nous compter mille et une légendes sur ces lieux enchantés, Stéphane Bern et le gars des Racines et des Ailes n’ont qu’à aller se coucher ! Nous faisons la petite boucle et nous redescendons vers le village. Pas le temps d’arriver, que Gilles reçoit un coup de fil lui annonçant qu’un électricien l’attend déjà devant chez lui pour régler le problème. Qui a dit que les corses étaient fainéants ?

Le temps de s’hydrater pour nos celtes et tout le monde s’installe à la fontaine où est aménagé, à l’ombre, une espace de pique-nique qui n’attendait que nous. On surplombe le ruisseau
où certains se sont adonnés à la cryothérapie, mais ont aussi servi de cobaye pour test épidémiologique, vu ce qui s’y déverse en amont, mais ça on le saura plus tard…

Et on assiste à un moment de partage bien sympa quand une amie de la mère de Gilles vient jusqu’à nous pour nous porter des patés. Un vrai délice surtout celui de porc fait maison. Un grand merci Madame ! Même si on peut se demander si ce n’était pas là encore une stratégie pour affaiblir nos celtes pendant que nos adversaires profitaient certainement d’un repas bien plus équilibré pour donner leur maximum à l’heure H…Ah la théorie du complot ! Surtout qu’entre temps, on apprend que l’un de leurs meilleurs joueurs sera absent mais aussi que le match est repoussé d’une heure, sans doute pour permettre au nombreux public attendu de prendre place dans le stade, sans qu’il n’y ait de mouvement de foule…
C’est qu’au fil de la journée, tous les gens que l’on croise parlent à Gilles du match, on va donc certainement jouer à guichets fermés ce soir, on se sait attendus !
Après le pique- nique, le groupe se partage en deux : ceux qui souhaitent passer un petit moment à la plage et ceux qui resteront faire une sieste à Castellu (pour récupérer du voyage) et se mettre en conditions pour une partie de boules…enfin, pétanque quoi.
Ceux qui filent à la mer profitent d’une petite crique bien sympathique, même si l’eau est un peu fraîche. Ils ont surtout la chance d’apercevoir la dernière série spéciale du kit plongée décathlon, composé notamment d’un boxer qui va certainement contribuer à relancer une mode.

Parmi ceux qui restent à Castellu, certains ont eu la bonne idée de laisser les fenêtres ouvertes pendant la sieste, préférant se laisser bercer par le doux son du ruisseau qui coule au pied de la maison, plutôt que par le ballet d’engins de chantier, qui ont repris leur travail là où ils l’avaient laissé la nuit précédente…
Quand arrivent les plagistes, une partie de boules s’est déjà engagée sur le boulodrome international de Castellu bien ombragé et on ne va pas s’en plaindre. Et vu la chance insolente démontrée par un novice, ont se dit que cela ne peut qu’être bon signe pour ce soir…Mais l’avenir proche allait malheureusement nous démontrer le contraire…
C’est d’ailleurs l’heure de commencer à préparer nos affaires avant le transfert entre Castellu et le stade international d’Erbalunga, car l’heure du match approche.
Et c’est sans escorte policière que nous rejoignons le stade et découvrons un terrain champêtre, où la moitié du terrain est occupée par un début de maquis, une tradition locale peut-être, pour rendre mieux hommage au nom du lieu.
Pour le résumé du match (ou plutôt du non-match de nos celtes), allez jeter un œil sur le très bon résumé de Lolo.

Le coach démission ?

Après une telle prestation, nos celtes quittent le stade forcément déçus, avec le sentiment de n’avoir pas été totalement au rendez-vous.
Avec une bande un peu plus longue, j’y étais presque…

Mais la suite de la soirée allait vite redonner le sourire à nos valeureux celtes : dès qu’il y a un comptoir, on redevient champions !
Nos hôtes ont tenu à nous inviter et nous ne pouvons que les remercier pour ce qui allait être une très agréable soirée en leur compagnie. Faut dire que le lieu choisi s’y prêtait particulièrement : un resto en balcon sur la plage avec un petit extérieur cosy aménagé avec des canapés, tabourets et autres tables basses et hautes, le tout sur une belle pelouse synthétique.
Mais il n’était pas question à ce moment-là de refaire le match sur cette surface, qui nous aurait, ceci dit, peut-être mieux réussie en fin d’après-midi…Nous avons surtout profité de l’instant pour échanger autour d’un verre avec nos hôtes d’un soir. Histoire de découvrir que certains sont également passés par Carpiagne, pour un moment que les moins de quarante ans ne peuvent pas connaître, et que parmi nos Corses, s’est immiscé un Salonais expatrié il y a peu, à la recherche de son eldorado sur l’île. Au cours de la soirée, les petits plats (délicieux) se sont succédé, la rapidité avec laquelle ils se vidaient ne trompe pas…Le tout accompagné d’une ronde de vins ou de bière à la pression selon les goûts.
Et une soirée en Corse, avec des corses, ne pouvait être réussie qu’avec un moment de chants polyphoniques ! et avec ou sans main à l’oreille s’il vous plaît…Auquel les celtes ont répondu par un Fields of Anthry, comment dire…perfectible ! Et pour ne pas en rester là, tout le monde d’une seule voix a enchaîné avec un vibrant hommage à Michel Sardou qui a résonné jusqu’à l’ile d’Elbe…Avant que l’on vienne suggérer de baisser un peu le volume pour les voisins…à moins que cela ne fut pour éviter de massacrer à ce point la musique et ses accords ?
Le repas toucha à sa fin de manière plus paisible et Gilles proposa d’aller boire un dernier coup au petit port d’Erbalunga pour clore la soirée, l’occasion aussi d’inviter à notre tour nos hôtes du FC Brandu.
C’est le gérant du bar (pas celui au serveur sympathique et avenant du matin, mais celui d’en face), qui a dû être content en voyant débarquer un bus de croisiéristes celtes envahissant son comptoir extérieur et sa terrasse qui commençaient à sonner creux. Il a dû tripler son chiffre d’affaire de la soirée. C’était son jour de chance !
La soirée se termine agréablement là où elle avait commencé, avec le soleil du matin qui a laissé sa place à un beau ciel étoilé, qui m’a fait avoir une petite pensée pour celles et ceux qui ne sont plus là mais nous accompagnent certainement d’une manière ou d’une autre (une grosse bise pour Napo et ma pupuce)…Les Celtes rejoignent ensuite Castellu pour les uns, Mausoleo pour les autres et se donnent rendez-vous le lendemain matin pour une journée de découverte du Cap Corse.
3. On ira tous au paradis…
Après une nuit certainement plus calme pour certains que pour d’autres, les celtes se retrouvent au complet pour démarrer cette deuxième, et déjà dernière, journée sur l’île.
Le temps de faire un petit pèlerinage, pour quelques uns, jusqu’à la chapelle Notre-Dame des Neiges, passage obligé pour ceux, comme moi, dont Anna et Elsa font quasiment partie de la famille, et hop, nous voilà partis.
Nous quittons Castello et sa quiétude, direction une paillote sur la plage de Tamarone où Gilles a réservé pour le déjeuner. La route qui longe la côte laisse découvrir des petits ports bien sympas et des paysages assez préservés. Le temps de trouver un tabac pour en sauver certains du suicide, nous empruntons après Macinaggio un petit chemin en terre qui serpente et en jette pas de mine…bon, Gilles semble savoir où il va…et c’est là que nous arrivons sur une plage magnifique, un de ces lieux (presque) du bout du monde où l’on a parfois envie que le temps s’arrête pour en profiter pleinement : la plage de Tamarone avec sa paillote « U Paradisu », la bien nommée.
La minute Ushuaia : l’occasion de découvrir pour quelques celtes ce que sont les posidonies et leur rôle. Vous savez, ces « algues » que l’on retrouve sur les plages au printemps…ben en fait c’est pas des algues…mais les feuilles de ces plantes marines, que l’on retrouve généralement dans les eaux de bonne qualité et qui permettent d’oxygéner l’eau et servent d’abris à de nombreux poissons. Laisser les feuilles de ces plantes sur les plages permet aussi de les protéger de l’érosion. Donc si vous faites de la plaisance les gars, faites attention à ne pas planter l’ancre dans un herbier de posidonies, sinon vous flinguez des plantes qui ont un rôle hyper important ! Je sais, on va tous mourir avec le réchauffement climatique, mais en attendant, au moins qu’on puisse encore manger du poisson et profiter des plages et des beaux fonds marins de notre littoral…fin de la minute Ushuaïa
Alors ce qui est bien, c’est qu’au paradis, tout est à 22 euros, au moins le bon dieu s’emmerde pas avec les calculs ! En plus, il peut aller piocher les bœufs, les vaches et les veaux en fonction des commandes de brochettes et autres steaks, sur le terrain à l’arrière de la paillote, où les animaux broutent paisiblement l’herbe en plein cagnard…sans parler des chiottes écolos…bref, un lieu vraiment atypique et sympa cette paillotte. L’essentiel : on y mange (et on y boit) vraiment très bien, c’est copieux et c’est bon, Gilles ne nous avait pas menti !
Et il faut aller au fin fond d’un chemin de terre en Corse pour tomber sur une paillotte avec une serveuse irlandaise et un serveur qui ont gardé un excellent souvenir du O’brady’s lors de leur séjour à Marseille…Le monde est pas petit, il est celte en fait !
Après le repas, la colonie reste prudente en ne s’aventurant pas dans le sentier des douaniers qui longe la plage de Tamarone. Elle préfère plutôt se poser sur le sable, pour un moment de farniente : baignade et bronzage pour la plupart, ou bien à l’ombre, afin de profiter du beau paysage pour les autres, faut dire que l’eau pique encore un peu…
Les excursionnistes reprennent ensuite les routes sinueuses du cap Corse jusqu’au moulin Mattéi, que notre guide connait bien. Et ce qui est original, c’est qu’en Corse, les moulins n’ont pas d’ailes…ma foi pourquoi pas…avec une conclusion qui s’impose : les meuniers corses sont vraiment fainéants par rapport aux électriciens. Par contre, on comprend pourquoi ils ont construit des moulins (et des éoliennes) par ici : dès notre sortie de voiture, on a droit à une soufflerie digne de notre Mistral, qui s’appelle le « libecciu » ici dixit notre guide.
Après avoir profité des belles vues à partir de l’esplanade du moulin, on immortalise notre présence en ce lieu par une suite des jolis clichés d’art et d’essai entamés sur le bateau.

Une belle équipe de danseuses…

Cette halte touristique terminée, direction Bastia pour nos Celtes, avant de reprendre le bateau en fin (et c’est pas peu dire…) de soirée.
Après s’être dégourdis les jambes à travers le (petit) vieux port de Bastia, la horde affamée trouve une tablée en bois à sa mesure, en terrasse d’un genre de bar à tapas « corses », sur une petite place dans la (très) vieille ville. Cela semblait bien parti dans ce lieu sympa…mais je ne sais pas à quel moment ça a vrillé dans la tête du cuistot, qui en a profité pour glisser des petits morceaux de verre dans certains plats pourtant délicieux…Le pot de pesto, semblerait-il, qui se serait tombé dans le mixer ni vu ni connu…mouais…en tout cas merci à ceux qui ont lancé l’alerte. Cela n’a pas empêché la joyeuse troupe de ne pas faire plus d’histoire que ça et de passer un bon moment.
4. The comeback
L’heure du départ approchant, celui-ci ayant été décalé d’une heure (du moins officiellement), tout le monde regagne les voitures et fonce vers le bateau. Bateau que l’on aura le temps d’apprécier…mais bien amarré, au loin en tout cas ! Contrairement à l’aller, l’attente pour monter dans le bateau a été interminable et on a dû y accéder vers minuit alors que le départ était annoncé pour 23h.
Une fois sur le bateau, une partie du groupe se plonge directement dans le lit, épuisée par l’attente ou se préservant avant d’entamer sa semaine de travail, les autres parviennent jusqu’au bar panoramique non sans mal, le jeu étant d’éviter de piétiner les gens, qui sont vraiment allongés dans tous les recoins du bateau ! Et le bar ne déroge pas à la règle : beaucoup de monde attablé et allongé qui se repose, mais peu de vrais consommateurs : coucou on arrive !
Persuadés d’avoir trouvé un point d’accroche durable, nos intrépides celtes discutent et échangent paisiblement… quand le grincement de la grille annonçant la fermeture du comptoir se fait entendre. Pris de panique et au dépourvu, une dernière tournée improvisée s’organise en même temps que prend fin le mythe de l’ouverture tardive de cet endroit, qui nous a quand même réconcilié avec les serveurs à bord, histoire de finir sur une meilleure impression qu’à l’aller.
Avec l’épuisement du carburant, tout le monde rejoint sa cabine pour une dernière nuit d’angoisse, enfin, pour certains peut-être …jusqu’au réveil toujours très amical et sensuel de la voix portée par le haut-parleur intérieur de la cabine. Et à en croire les invectives de certains qui semblent bien la connaître, cette charmante personne pratiquerait le même métier (honorable) que la personne dont nous avons entendu la voix lors du voyage aller ! Quelle coïncidence !
L’escouade celte débarque à Toulon vers 9h, ce qui clôture ce bien beau week-end en terre Erbalungaise.
De mon point de vue, même si la performance sportive n’a pas été à la hauteur, faut le reconnaître, nos celtes peuvent être fiers d’avoir dignement représenté le club et son état d’esprit. A charge de revanche ?
Sur un plan perso, j’ai découvert un endroit sympa, qui m’a rappelé la vie et les paysages d’un pays que je connais bien. Même si je suis revenu avec le crâne balafré (j’en profite pour remercier mon infirmière personnelle), j’ai passé un bon moment.
Pour conclure, un grand merci :
au FC Brandu pour cet accueil chaleureux.
à notre Gillou, digne descendant des seigneurs de Gentile, d’avoir parfaitement organisé ce we et partagé avec nous ces lieux qui lui tiennent à coeur.
Et à tout le monde, car pour passer un bon we ensemble, ben…il fallait être ensemble quoi !

Résumé Lolobispo

> Erbalunga…la pelouse n’était pas si longue que ça !!!
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> Samedi 1er juin, 19h00, Stade International d’Erbalunga
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> Match amical Brandu FC 6 / Celtic Irish Club 3 (mi-temps 1/0)
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> CIC : Mika aux cages, Virgile, Bardy et le grand Alain derrière, Gillou, Maca, Lolobispo au milieu, Nabilou devant. Remplaçants : Victor le portugais et Thomas Salomon.
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> Coach : Mimet
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> Buteurs : Nabilou x 2, Maca
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> Spectateurs : Steph le boucher, Tonton, Caro de Camoins et Mme Virgile, plus quelques spectateurs corses venus après leur sieste !
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> Reporter : Lolobispo

> L’avant match avait été plutôt calme, certains jouant aux boules après une sieste pendant que d’autres étaient allés se faire dorer à la plage. Tout le monde embarqua à 18h, direction le stade.
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> A notre arrivée, on fut d’abord surpris par la pelouse : comme il s’agissait d’un match à 7 (sauf qu’en Corse, on joue à 8 contre 8), un demi-terrain avait été préparé. Et quelle préparation : pelouse fraichement tondue la veille et pas du tout dans le style « erbalunga » (pas le reste du terrain où l’herbe nous arrivait aux genoux), traçage du terrain effectué ¼ d’heure avant le coup d’envoi. Original mais néanmoins bien loin de nos belles pelouses synthétiques du vendredi soir.

> Côté préparation mentale, le coach nous avait dit « je ne traverse pas la Méditerranée pour perdre ». Gillou notre organisateur lui avait opté pour un « pas d’échauffourée, je vous rappelle qu’on joue contre mes amis d’enfance et je veux revenir finir mes jours tranquillement ici !!! ». Et comme on a voulu être des invités modèles et bien on a suivi les conseils de Gillou.

> Après un échauffement type commando pris en main Par Gillou, un échange du fanion du match et une photo souvenir faite avec nos amis corses, le match allait pouvoir démarrer non sans un peu de retard sinon on ne serait pas en Corse, là où les gens prennent leur temps ! Par contre il n’allait pas en être de même sur le terrain…

> Un début de 1ère partie équilibré où on essayait tant bien que mal de se faire 3 passes d’affilée sans être surpris par les rebonds facétieux de la pelouse, quelques contacts mais rien de bien extraordinaire avant l’ouverture du score corse. Sur un centre, Bardy au coude à coude avec son attaquant, déviait malencontreusement le ballon du genou pour aller tromper Mika en pleine lucarne.

> Mimet procédait alors au 1er changement au bout d’1/4h de jeu et Victor prenait la place du Gillou. Sa rentrée réveilla les troupes celtes et c’est même lui qui se procura la 1ère action dangereuse avec un tir détourné in-extrémis par le gardien adverse. Nabilou et Maca tentèrent eux aussi leur chance mais sans succès. Victor multipliait les efforts si bien que les corses mirent en place un plan : il fallait l’arrêter coute que coute. Et ce n’est pas si bien dire puisque lors d’un contact avec un adversaire (contact involontaire je précise), Victor se retrouva à terre avec la tête en sang suite à un coup de coude (lui aussi involontaire). La mi-temps fut sifflée sur ce petit incident et sur le score de 1/0.

> A la reprise, Victor qui avait bien perdu 1l de sang, son maillot étant devenu identique à celui des Red, ne put pas reprendre. Son apport avait pourtant été bénéfique et malheureusement son absence allait se faire sentir. A noter la rentrée de Thomas et Gillou.

> Après seulement quelques secondes, Thomas provoquait un pénalty transformé, puis un 3ème but arriva rapidement sur un tir suivi d’un faux rebond qui trompa Mika. 3/0 en 5mn, c’était dur pour les celtes qui n’abdiquaient pas. Virgile laissa sa place à Lolobispo, qui sur un de ses premiers ballons touchés s’essaya du gauche, son ballon étant repoussé par le gardien sur Nabilou qui n’avait plus qu’à pousser au fond des filets (euh pardon au fond de la cage, pas de filets présents 😉 !).

> L’espoir renaissait, une autre occasion s’enchaina avec un tir sur le poteau mais il fut de courte durée puisque un 4ème et puis un 5ème but s’enchaînaient. Nabilou et Maca nous permirent de revenir à 5/3 mais c’est sur un score de tennis, Rolland Garros oblige, que le match se termina : 6/3, gioco, set è partita, ça doit se dire comme ça en Corse !

> Heureusement qu’il y avait la soirée en perspective…soirée au cours de laquelle nous avons été merveilleusement accueillis par nos hôtes, soirée au cours de laquelle nous avons même eu droit à quelques chants traditionnels corses. Je ne sais pas par qui fut remportée cette 3ème mi-temps mais elle fut très agréable à partager, encore un grand merci à tous.
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