Vendredi 17 mai 2024 à 20h au stade de Cassis Pignier.
CIC 7A – SO Cassis A : 0 à 8.
Résumé : Jean
Présents :
Thierry dans ses buts
Cédric Le G / Alex / Jean
Fred / Nico / Anto / Yann
Jean-Mi / Charles
Le climat est bon, l’été pointe son nez, nous entamons cette rencontre sans éclairage, merci le soleil. La pelouse en revanche est sèche.
Le match commence bien pour les Celtes, l’équipe est bien en place. Notre 2ème coach de la saison étant blessé, Sampaoli JC a confié les reines à Anto, et le « Venez les Verts » d’avant match a bien été respecté. Reprise après une longue trêve et quelques retours de blessures également.
Les occasions ne sont pas au fond mais elles sont là. Pour Cassis les occasions sont là, mais une bonne défense et surtout un excellent Thierry maintiennent le score vierge quelques temps. Les Cassidains ouvrent la marque sur une erreur défensive de votre résumeur qui s’est un peu jeté. Ça ne change pas la physionomie du match, les Celtes sont toujours en place. Thierry est au top, que ce soit sur sa ligne ou sur ses sorties plutôt très franches.
Le second but arrive mais surtout la blessure d’Anto à 5 minutes de la pause, qui sur le coup nous a fait une feinte assez bizarre, il a mit tout le monde dans le vent y compris lui-même. Une entorse à priori ? Réorganisation de fait dû à la sortie d’Anto, remplacé par Alex au milieu axial. 2-0 à la mi-temps. Mais franchement belle gueule cette 1ere mi-temps.
On reprend avec un tout autre visage qui n’est pas celui qu’il fallait adopter.
Beaucoup moins de structure et de cohérence : les Celtes sont coupés en deux, une partie devant et l’autre derrière, pas de présence entre pour le liant.
Plus vraiment d’occasions non-plus.
Cassis eux enfilent les buts comme on enfile des perles. Vraiment pas beau cette 2eme mi-temps. Pour le fun et tenter de sauver l’honneur, on prolonge de 5 minutes mais non : 9-0, gentil ça sera un 8 qui sera retenu.
L’homme du match est sans aucun doute Thierry qui nous a sorti je ne sais pas combien de buts, sans lui peut être même qu’on serait rentré chez nous à la mi-temps.