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Sandballez vous : BINIC les retrouvailles : 10 ans après : Le CIC 6 ème sur plus de 100 équipes

Binic 9 et 10 juillet 2018
Les joueurs (sisi, on a essayé) : Pitt, Cléo, Manal, Gringo, Vince, Bizkit, John B
L’arlésienne du Vaucluse : Mickey
L’invité de dernière minute : Bubu
Team Photo : CatyPenFlam
Team Orga et soutien logistique : Neulyne et Nainco
Ceux qu’on aurait bien aimé qu’ils soient avec nous et qu’on a tenté de faire venir : SuperVachette, Jesus, xEn, Tripode, Calimerov, Yaya, Tuhpuht Grossbouffe et tant d’autres verts, bleus, RAL3005 , zincous et SBLP…
Tout a commencé par un bel apéral sur le vieux porc entre Trip, Flying, Pitt et quelques irishs passant par la plus belle ville du monde en février, avec une question qui taraudait pas mal de monde depuis 2011 : « et si vous faisiez votre retour là ou « presque » tout à commencé en 2002 » ?
Aussitôt dit, aussitôt organisé, comme à la grande époque le Coach/Captain Pitt bat le rappel et recense les bonnes volontés, non plus via des soirées autour des lasagnes du O’Bradys, mais, distance oblige, via un réseau social dont la couleur nous ramène à nos plus valeureux adversaires !
Les espoirs fusent, l’utopie reverdit, les organisations familiales (hé oui, la sand poussette a bien évoluée depuis notre dernier passage dans les côtes d’Armor) se mettent en place et l’envie se fait de plus en plus présente…et le jour I arrive, avec son lot de bonnes et de moins bonnes surprises !
Plusieurs convois se mettent en branle et, sans passer par la Corrèze (on l’a beaucoup trop traversée ces dernières années), les irishs convergent vers le grain de beauté des côtes d’Armor avec quelques pauses footballistiques ou la bière rennaise aura raison du lapin en manque de sommeil mais ou les uruguayens s’avéreront moins forts que les grecs de 2004 ! Un passager clandestin nommé Bubu s’incrustera dans le convoi sudiste frusté de n’avoir pu vivre le Lausanne du week end d’avant.
Cette année un foie arrivés, pas de base nautique, on a investi dans un tente de droite comme lors de notre périple hongrois (et après 7 ans d’absence, la Bretagne c’est un peu notre Hongrie, l’accent en moins) avec du couchage en dur, des baignoires, un barbec et une cuisine prête pour faire à manger pour 30 personnes (fallait pas nous enlever les tentes de l’Estran) et une proximité des terrains (histoire d’avoir le maximum de force pour arriver à gagner une manche, notre objectif du week end), finalement il ne manquait que quelques géranium pour que le bonheur soit total !
La nuit du vendredi sera courte pour certains avec un aller retour à la base nautique matinal et une soirée conceptuelle qui verra plusieurs échappés se faire la malle dans les bras de Morphée sans que le peloton ne le rattrape.
Le levé du samedi sera rude, même avec le confort de droite, les organismes des sandieuvs sont éprouvés et la découverte de la sandlausanne qui déjeune devant « la villa » redonne le sourire à la joyeuse troupe qui « change de cimetière » en se entamant son périple de 5 minutes de marche vers la banche !
Les retrouvailles avec l’orga locale sont heureuses, mais étranges, les visages sont différents, les sandballeurs plus jeunes, moins déguisés aurait on fait un voyage dans le futur ? Le plaisir est toutefois au rendez vous et les réflexes ensablés reviennent vite, on sympathise rapidement avec les enfants des FBB venus de Metz et menés par le sosie allemand de Bruno (décidément la Hongrie nous rattrapera toujours!) et une belle équipe de mollusques des Pyrénées. Et puis quel plaisir de recroiser la Sandlausanne, la Sandweed, Choko, Yanus, Flying, Waner, Gas et quelques grands sandciens venus en voisins plus ou moins proches…
Ce plaisir se reflétera sur le sable par des prestations de hautes voltiges (mais jamais à plus de 13 centimètres du sol) et 4 victoires sur les 4 premiers matchs, effrayés par la suite des tournois quand on termine une journée du samedi invaincus, on fera tout pour revenir à la normale, rappelez vous qu’on aurait signé pour 1 manche gagnée en début de tournoi et on perdra nos deux dernières rencontre, non sand avoir fait brillé l’esprit du Fish spirit : on aura même testé une nouveauté « spéciale irish » la séance de 1 contre gardien à la fin de la première manche, un régal pour nos esprit imaginatifs et le sens du spectacle de Pitt. On aura même réussi à être le terrain qui finit après les autres en n’arbitrant que quelques matchs dans la journée, les bonnes habitudes ne se perdent jamais !
Le samedi avançant, un repli stratégique s’effectue vers la tente et le barbecue weedien se prépare. La team s’organise et les écrans s’allument afin de savoir si Doud va pouvoir rentrer chez lui à la fin du week end. Le léger décalage de diffusion sur les différents écrans causera un suspens hilarant durant le match et la fumée des fumigènes vald’oisiens provoquera quelques hallucinations collectives ! Quel plaisir et quel partage cette belle soirée « à l’ancienne » entre sandballeurs vintage.
On trouvera quand même la force d’aller faire un pti tour à la soirée pour vérifier la vivacité des géraniums de l’Estran, avec au passage la réussite du défi glace par Nounours et ses 17 parfums !
La soirée sera calme et aux accents croates et la majeure partie des irishs retournera au bercail rapidement, les autres allant faire des rondes de sécurité à la base nautique jusqu’au petit mating. La weed quant à elle aura une fin de soirée « déménagesque » bien aider par le réceptionniste de l’hotel qui avait confié le pass ouvrant toutes les chambres à Doud !
Le dimanche verra son lot de surprises, son apparition dans le Télégramme et une qualification à l’ukrainienne pour le tournoi élite ou, quelle surprise, nous retrouverons la SandLausanne en 8ème et la Weed en quart (à croire que Max nous a encore en mémoire). Les séances de 1 contre gardien s’enchaîneront et les 360° eux ne feront pas leur apparition, au contraire des inspirations irishiennes avec deux doubles catapultes, un saut par dessus une barrière enflammée, un lancé de Bubu, heureusement pour eux que les organisateurs ont abandonné le Fish Spirit (à notre grand regret), car vu comme on était lancé, on tenté la triple catapulte associé à la cascade de nain par dessus la cage avec double salto inversé et atterrissage sur les cervicales…. Épuisés par tant d’imagination, on laissera la Weed virevolter jusqu’en finale et répandre ainsi l’esprit du jeu !
La fin de journée sera plus calme, les au revoir s’enchaînant à bien trop grand rythme, mais qu’on se le dise, quand on aime « on a toujours 20 ans », et il est fort probable que la branche reverdira encore en 2019, avis aux amatrices et teurs !
Le plaisir des retrouvailles aura été présent tout au long du week end, on a sûrement changé, les corps sont moins fringuants, les responsabilités plus grandes mais quand nos pieds foulent le sable, nos esprits d’enfants se réveillent, les souvenirs reviennent en pagaille, les utopies d’hier ressurgissent comme des trèfles dans un gazon trop anglais et les sourires envahissent nos visages et nos cœurs….pourvu que cela dure !

Championnat Handball 2013/14 : Part 2

By Alain Coach/prési
Saison Handball : Le printemps : Journées  14 à 19

CICHB/Allauch : 14/13
CSMP/CICHB : 22/27
Sausset/CICHB : 22/21
Vitrolles/CICHB : 37/24
Les Pennes M./CICHB 21/24
Miramas/CICHB : 15/25
CICHB/Aubagne : 29/24

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C’est donc après le match contre Simiane, où l’équipe au bord de l’implosion (voir le résumé précédent), que se présente face à nous l’équipe d’Allauch. Allauch, c’est une équipe que l’ont bat généralement facilement et contre qui on avait perdu le match aller (23/22) en menant de sept buts. Et c’est surtout notre principal concurrent pour la descente. C’est donc un match crispé, avec un déchets techniques hallucinant des deux cotés qui se déroule plutôt tranquillement avec un avantage pour les celtes à la pause (8/5). Le match va alors petit à petit se crispé encore plus avec le score qui s’équilibre, et Marco qui commence à se faire un ami avec l’ailier des visiteurs qui a une fâcheuse tendance à viser un peu trop les oreilles. Les ratés s’enchaînent et le score n’évolue pas, et à 14/13, à 30 sec de la fin, c’est l’ami à Marco qui récupère une balle et file seul en contre-attaque. Mais, grace au travail de Marco (et au QI de poule du joueur), l’allaudien au lieu d’égaliser va mettre une mine dans la tronche à notre vétéran, puis, tout fier de lui, le brancher et lui filer une petit coup en loose une fois qu’il est au sol. Évidement carton rouge, échange d’amabilité entre les deux équipes et surtout balle aux verts, qui gère le chrono. Victoire dans la douleur (surtout pour le nez à Marco) et grâce à l’intelligence finale des visiteurs. Mais surtout, net avantage pris face à nos adversaires du soir avec un Goal-average particulier en notre faveur grâce aux buts à l’extérieur et du coup, une place de relégable qui change de main. Bref, première victoire sur le terrain et gros soulagement, même si la fin de match gâchée nous ne permet pas de savourer.

C’est donc ragaillardi que les celtes voit venir la semaine suivante face à eux, le leader du championnat, le CSMP Marseille (qui nous avait collé une grosse rouste à l’aller). Match sans pression pour nous, et sûrement gagné d’avance pour eux. Et la surprise, tel un papillon sortant enfin de sa chrysalide, le CICHB retrouve son jeu, celui qui nous avait offert la montée il y a 3 ans. Tout nous réussi, Marco est « on fire » et la famille Van Overbeck atomise la défense, avec Bastos à 10m et Rémi qui enchaîne les chab’ et s’offre même une roucoulette dans un angle impossible. Les leaders sont stupéfaits et les verts virent en tête à la pause (9/11). La deuxième mi-temps sera du même acabit, avec enfin les sourires retrouvés. score final 22/27. Soulagement général d’avoir retrouvé notre hand qui s’était bien caché depuis un bon moment. Soupe à la grimace chez nos adversaires, dont leur coach, plutôt avenant habituellement résumera la soirée par un « je ne veux plus entendre parler de ce match » : Il tiendra parole, il n’y a plus de résumé de match sur le site depuis cette date:)

Le déplacement à Sausset, équipe de milieu de tableau, s’annonçait sous des auspices favorables. Ce fut un match étrange avec une domination celte en première mi temps (mi temps 8/11) avec une défense 5/1 et un schéma de jeu, certes stéréotypé, avec finition sur Alex en pivot. Mais, pour une raison qui m’échappe (et que nos adversaires non plus n’ont pas compris, comme m’a dit leur capitaine à la fin), on décide de changer de système défensif pour passer en 6/0 et jouer avec les arrières en attaque. Bilan, les locaux reviennent au score et nous passe devant (19/15, 52eme). Un retour au schéma initial nous ramène à égalité (21/21, 58ème), mais une mauvaise gestion de notre dernière possession avec un tir (raté) beaucoup trop rapide offre une contre attaque que les locaux ne ratent pas. Un plaquage agressif sur bastos qui filait au but nous privera d’un dernier tir (mais pas du carton rouge à son auteur) et de la possibilité de prendre des points. Beaucoup de regret car on laisse filer un match qui nous tendait les bras.

Le match suivant nous propose l’équipe de Vitrolles. Pas forcement un cadeau, avec beaucoup de jeune, vifs et techniques. Bref, le profil type que nous, vieux, qu’on aime pas. En plus, on est clairement pas dans un bon jour, avec une forme de chaque joueur entre « je suis claqué aujourd’hui » à « je suis pas en forme moi ». Malgré la présence de Coach JC et des mascottes Charlie et Clément, le suspense n’a pas duré bien longtemps. On s’est fait mangé en contre attaque. 15/12 à la mi-temps, 23/18 à la 40eme, puis lâchage physique en addition salée au final 37/24. Pas grand chose à dire. Pas un bon jour et pas le bon adversaire dans ces conditions.

Semaine suivante match contre les Pennes-Mirabeau, un adversaire à notre portée. Effectivement, le parquet de Bois-Luzy (où les pennes nous recevait, chercher l’erreur) nous réussi, car comme face au CSMP, la machine fonctionne bien, tout le monde est en réussite, bref, on rejoue au Hand. Mi-temps 13/7 et score final 24/21, dans un match entièrement maîtrisé. On notera la présence d’un ancien celte, Cédric, aux Pennes, qui n’a rien perdu de ses habitudes dans les buts, et qu’on est content de revoir face à nous.

Prochain adversaire, Miramas, dernier du championnat, une seule victoire par forfait. Bref, une obligation de prendre les 3 points.Malgré du déchet, c’est sans pression et avec sérénité, face à une équipe au moins aussi âgée que nous, que nous déroulons le jeu. 12/9 à la mi-temps puis 25/15 au final. Tout le monde a marqué (chose rare chez nous), on s’est fait plaisir et surtout on assure notre maintien. Bonne soirée et bon apéro sur le parking !

Le match d’Aubagne nous a fait avoir des frayeurs. On a frôlé le forfait tout au long de la semaine et c’est finalement Ugo, dont la fille a gentiment accepté de pas naître ce WE et Bast, de retour du Mud Day (mais sans sa cheville) qui nous sauvent pour être 6. Vu comment Aubagne, avec ces petits jeunes qui courent vite nous avait martyrisé au match aller, on est venu au match psychologiquement préparé à prendre une valise. Mais surprise, nos adversaires du soir n’étaient pas plus nombreux. C’est alors un match improbable avec, un rythme bizarre qui se déroule mais sympa et finalement favorable à notre style. La différence se fait dans les buts avec Marco d’un coté qui fait le job, et en face pas de vrai gardien, avec des joueurs de champ qui se succède dans les buts. Victoire imprévue mais victoire quand même, 29/24. Maintien mathématiquement assurée et fin de saison sereine en vue !

Championnat handball 2013/14 : résumé part 1 journée 8 à 13

Les aventures du CICHB – Période hiver : Journées 8 à 13

Aubagne/CIC : 39/14
CIC/ASPTT : 20/22
Salon/CIC : 36/19
Ensues / CIC : 27/16
Simiane / CIC : 19/16

Après un automne pas brillant (1 seule victoire par forfait), la dynamique du CIC ne s’est pas arrangé en hiver…

Le match d’Aubagne fut un modèle de n’importe quoi. Évidement à 7, avec 2 gardiens, 1 arrière et 4 ailiers, il faut pas espérer un exploit face à une grosse équipe qui nous propose 3 -18 nationaux « qui ne jouaient pas ce We et qu’on met en senior pour les habituer ». C’est sur que face à nous, pauvres trentenaires, c’était l’idéal. Il faut dire qu’ils ont pu découvrir des schémas de jeu qu’ils ne connaissaient pas (1 arrière et 5 pivots qui courent dans les 9m) mais je ne sais pas si c’est une satisfaction. Une belle raclée au final mais au moins on s’est amusé et on a testé des postes inédits et surtout on a pas pris le 40eme but, grâce à une belle série d’exclusion pour 2 minutes dans les 30 dernières secondes.

Le match suivant contre l’ASPTT, nous a redonné un peu de confiance, même si la frustration de perdre encore d’un rien face à des gars pas meilleurs que nous est présente. Encore un mauvais trou d’air avant la mi-temps, jamais rattrapé par la suite.

L’espoir engendré par ce match sera de courte durée. En effet, le match de Salon nous a encore emmené plus loin dans les limites du n’importe quoi. Perdre de match, on a l’habitude. Jouer comme des ânes et ratés l’immanquable, c’est déjà fait. Mais, se faire balader par un nain, ça c’était inédit. Et oui, ce n’est pourtant pas contre le cirque pinder que nous avons joué, mais c’est bien un nain, genre passe partout en plus grand qui a perturbé notre match. Et en plus pas un nain gentil, genre nain de jardin, non, un nain énervé et retord type Gimli dans une chaumière elfe. Alors voir Eric (1m95) se prendre des coups de tête dans la hanche, c’est limite drôle. Voir le nain, chercher la merde à chaque action, c’est déjà plus pénible. Mais en plus se voir sanctionner systématiquement quand on le touche, y compris c’est lui qui file des coups, c’est insupportable. Et au final, c’est Mika qui craquera le premier et se verra expulsé… fin de match compliqué à 6, avec en plus un public des plus pittoresques avec le scooter garé au bord du terrain qui klaxonne à chaque buts (oui, c’était bien dans un gymnase…). Bref, un match surréaliste, à oublier tant notre prestation fut terne et dans des conditions spéciales.

Le match d’Ensuès est heureusement plus classique avec une équipe qui nous est supérieure, une bonne résistance (14/10 à la pause) puis une fatigue et un montée des adversaires qui fait un score assez lourd pour une prestation pas si mauvaise.
Bilan à la fin des matchs aller : 1 victoire (par forfait), 11 défaites, Goal-average abyssal. Moral en berne.

Pourtant, si le moral est atteint, le fond du trou, lui ne l’est pas encore. Il va l’être pour le match à Simiane, où seul 6 celtes sont présent. L’idée d’un forfait (et même d’un forfait général) est évoqué dans le vestiaire avant le match. Et pourtant, l’improbable va se produire. A 6, face au second du championnat, le CICHB retrouve des couleurs et posent de vrais soucis à nos adversaires (8/8 à la mi-temps). Une défaite 19/16 au final, mais des valeurs défensives retrouvées avec un Alex fait plus que dépanner dans la buts. Et finalement, la flamme, qui était au bord de s’éteindre à 30 minutes du coup d’envoi qui rebrille à nouveau….

Championnat Handball 2013/14 : Journée 4, 5, 6, 7 et 8 : November Tour

Résumé CIC Hand du mois de Novembre
10/11/13 –J4 : CICHB 16 -35 CSMP Marseille
16/11/13 – J5 : CICHB 15-17 Sausset
24/11/13 – J6 : CICHB 23-26 Vitrolles
30/11/13 – J7 : CICHB 13-17 Les Pennes Mirabeau
7/12/13 – J8 : CICHB – Miramas : Miramas Forfait

Classement et feuilles de match :
http://www.ff-handball.org/competitions/championnats-departementaux/13-comite-des-bouches-du-rhone.html?tx_obladygesthand_pi1[competition_id]=19989&cHash=5a40d30dc3ee67377d223d1a9efda97f

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Alors oui, c’est un résumé mensuel. Mais, je sais que les lecteurs de ces pages sont surtout des footeux à la recherche d’instant de grâce rare comme une horizontale de Bubu, un tacle régulier du Boucher-Boulanger ou d’une victoire en championnat des Vétérans, et que le hand est un sport obscur et répétitif, alors je compile. C’est d’autant plus vrai que le CIC Hand manque cruellement d’originalité dans ces scénarios de match.
Si on exclut le match contre le CSMP qui est un non match absolu (25% aux tirs, 1 arrêt, des ratés à la pelle, un score sans appel et même oubli des bières pour l’après match !) et qui prouve une fois de plus que même si le match est à 9h00 du matin, nous ne nous réveillons pas avant 11h, les autres matchs sont tristement similaires.

Un scénario bien rodé, où si à la fin ce n’set est pas allemands qui gagnent, c’est le CICHB qui perd. Le schéma est plutôt basique avec un bon début avec une petite avance de 2/3 buts, un petit coup de mou passé les 20 minutes (nos physiques de trentenaire étant ce qu’ils sont), un score étriqué à la mi-temps (+1/-1), et deux – trois actions ratées que l’on paye cash en deuxième période qui scelle le score du match. Dans le désordre, des contres attaques vendangées (Vitrolles), des tirs ratés (Sausset) ou des interceptions foireuses (Les Pennes), mais à chaque fois, le coup fatal.

Alors oui, on a bien relevé la tête, on n’est pas loin à chaque fois et on a retrouvé une défense, mais hélas, offensivement on a encore trop de déchets. Peut être que le foot à l’entrainement ça aide pas non plus à progresser ou au moins à maintenir un jeu d’attaque cohérent. On ne se refait pas, ca fait 15ans que ca dure comme ca, mais il va quand même falloir penser à trouver le déclic car la victoire nous manque.

Coup du destin, Miramas, dernier ex-aequo avec nous avant le match à déclarer forfait. Est-ce le signe de la fameuse remontée de deuxième partie de saison dont nous sommes coutumiers ?
Les deux derniers matchs de l’année, samedi 14 à Aubagne et Mardi 17 à Vivaux (face à des équipes du haut de tableau) nous le dirons…