Victoire du CIC B pour son jubilé le dimanche 22 juin 2014, félicitations aux présents, aux organisateurs, à zize et Thomas, a ceux qui ont donnés des lots.
C’est en début de saison que se décide qui va faire le tournoi?
Bubu après multiples relances obtient l’organisation, avec l’envie de se recentrer sur le cic, et de ne pas reprendre les équipes qui vont vite, pour ne pas frustrer nos vieux!!!Donc nous ne reprenons pas les tenant du titre, le smuc, ni sainte anne, la pebrom firm par rapport aux stephanois présent, et l’équipe de Bofelli qui préfère aller au mac do que de consommer chez zize. Bubu trouve facilement 12 équipes, et suite à un désistement prend l’équipe du frère d’Alex olive de la B. Disons que quand tout allait bien pour eux ils étaient charmant, et que cela allait moins bien, ben quelques uns ont oublié de serrer les mains, et sont parti avant la remise des lots. Dommage. le Cic vous a tout de même donné vos lots à Alex olive.
Concernant la table de marque, stecca a informatisé le truc, et Anthony Donati a filé la main.
Pierrot a gagné le trophée du comptoir, Gilles Dargent des vétérans a cloué le bec a tous les détracteurs depuis l’Ardèche sur sa capacité a tiré les coup franc et a gagné le jeu de la barre transversale. Il a aussi gagné a la Tombola l’un des 2 maillots.
Max Collomp de la C meilleur joueurs du tournoi et Nico Donati meilleur gardien.
Fair play le CIC B mais pour éviter de faire doublon, il a été remis au CIC Rouvière.
CIC B vainqueur du tournoi avec un grand max Cloutrier et un grand Momo au gardien.
Présence de quelques stephanois des IS pour faire l’apéro, et des gars de Liverpool complétés cette année par pieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeere Philippe.
Enfin présence de Michel Pautot de l’association Légisport, qui défend toujours avec vigueur la non violence dans le ssport.
Bravo a tous ceux qui sont venus faire le coucou, et bravo a Bubu et son staff, il n’y que ce qui ne font rien qui ne se trompent jamais. Donc félicitations a vous.

Archives de catégorie : Tournois
Tournoi des sélections à Paris: la sélection 13 présente avec 4 gars du CIC Championne 2014!!!!
résumé by romain Bazin de la C
Vendredi soir, soirée du Celtic au restaurant l’Escapade à la technopôle de Château Gombert, délicieux moment où le raffinement de la nourriture n’avait d’égal que celui des convives Emoji. En clair on se régale, ça blague dans tous les sens, on prend connaissances d’un tas d’anecdotes footballistiques ou autres sur les collègues et ça chambre bien comme il faut.
La soirée sera dure à digérer pour Maxou, Jumo et moi-même (Romain de la C), étant donné que le rendez vous pour Paris avec la sélection est à 6h30 à St Charles, un 4e laron du Celtic Thomas nous rejoint ses lunettes de soleil fixées sur le visage témoigne de son état de forme, Gillou notre gardien de l’an dernier (le phénomène de Brest pour les intimes) fait aussi parti du voyage.
Le voyage en train commence, et autant dire qu’à la contrée avec le Maltais on n’a pas été brillant… 4000 points dans les dents plus tard, arrivée à Paris, on prend le RER à 23, direction Noisy-le-Sec, covoiturage et minibus pour aller à l’hôtel on mange un bout au centre commercial et on arrive sur les infrastructures, magnifique complexe refait à neuf récemment qui redonne le sourire dans ce coin un peu triste.
Premier match à 17h il fait 35° et pas un brin de vent, on joue la sélection du 93 et notre équipe est beaucoup mieux en place et préparée, 2X30 mn qui nous permettent de gagner 4 à 0 sans trop forcer et chaque joueur (18 en tout) joue au minimum une mi-temps. La soirée se passe joyeusement et on décide d’aller faire un tour à Bastille en équipe, la fatigue et 1h de RER auront raison de ma motivation, les autres ne rentreront pas trop tard, hein Gilles.
La 2e journée commence par un bon petit déjeuner et s’enchaine avec 1 bon match contre la sélection du 31, on met du rythme, l’équipe conserve bien le ballon et marque rapidement (2 à 0 au bout de 15 mn), tous les joueurs montent en puissance et tous nos joueurs sont de bon niveau ce qui fait défaut à nos adversaires, 4 à 1 au final. Le match suivant s’annonce beaucoup plus difficile contre une équipe parisienne (remplaçant le forfait de la sélection du 94). Nous commençons le match tambour battant et nos adversaires sont exténués par leur match précédent, ils baissent les bras au bout de 20 minutes, 7 à 0 au final. L’après midi Thomas, Gilles et moi avons la chance, l’honneur de participer à un match amical avec l’équipe de France FSGT contre une équipe de région parisienne de niveau régional, Maxou et Jumo sont laissés au repos par le coach qui compte sur leur technique, ténacité, vitesse, vision du jeu (chacun ses qualités lol) pour la finale du lendemain contre la sélection du 75. C’est sympa de jouer ce match d’autant plus que Jumo qui sonorise (ne changer pas le n en d et le r en m, hein Yespapa) Noisy le Sec depuis le premier jour, nous envoie une Marseillaise de folie.
Sur ce direction la douche puis les grands boulevards, Disney, la famille, Châtelet les halles, l’hôtel… selon les humeurs des uns et des autres. Un petit resto, 8 à 0 France Jamaïque à la TV, quelques pintes, boites miteuses, puis un retour en taxi sous la grêle à 5 quand je dis la grêle c’est la grêle des boules de pétanques glacées qui font un bruit monstre sur le toit du taxi.
Lundi matin c’est le grand moment, le match pour lequel le comité nous prépare depuis plusieurs mois. C’est une formule championnat et nous avons un meilleur goal average que nos adversaires, en gros un nul nous suffit. On rentre bien dans le match mais on n’arrive pas à concrétiser, les parisiens sont en place, évoluent plutôt en contre et se créent de belles occasions. Gilles se met en évidence sur les coups de pieds arrêtés. En 2e mi-temps c’est un peu le même scenario, jusqu’à la dernière minute où les parisiens obtiennent un coup franc plein axe à l’entrée de la surface, balle de match. Le tireur s’élance, sa frappe puissante contourne le mur mais Gilles est resté vigilant et nous sort la parade qui va bien, explosion de joie, moulon, photos, émotions des joueurs et du staff, harlem shake, ma gueule, mon copain, oueskon va, keskon fé…
On déjeune avec les participants puis retour à Marseille. 4000 points de contrée dans les dents et on est arrivé, je joue plus avec les mecs de Périer
Un grand merci à toutes les personnes qui ont organisé le tournoi, à celles qui se sont investies pour former l’équipe du comité (la mieux préparée à mon avis), et au club du Celtic (bien représenté lol).
Hail Hail the Celts are here!!!
Romain de la C.
Tournoi à 7 de Cassis Carnoux 2013/14 : Le CIC D Champion!!!

Résumé batbeu/Bubu
Samedi 29 Mars 2014 : Tournoi nocturne de Cassis Carnoux :
Le CIC A quart de finaliste défait contre le CIC D 7 à 3
Le CIC D champion en finale , victoire 6 à 1
En ce beau samedi de mars nous nous déplaçons à Carnoux pour un tournoi en salle organisé par un pote de Manu de la D.
Premier rendez-vous fixé au pub à 17h00 afin de voir la première mi-temps de Sochaux-OM, présents les 2 taxis, les 2 frères tupolev, bubu puis Karim.
Mi-temps 1-0, bon pour mon totocic et départ par la gineste où nous croisons un défilé de varois en route pour le vél afin de voir Toulon-Toulouse en rugby.
Nous trouvons la salle sans trop de difficulté, l’ambiance a l’air bon enfant, 2 télés nous permettent de voir l’égalisation de l’OM (plus bon mon totocic) nous repérons le camion a pizza, tout va bien pour le moment !
Le reste des troupes arrive petit à petit, Garcou, Cyril, Baldous, Jérôme puis Baka et le tournoi peu enfin débuter.
9 équipes au lieu de 12 prévues, 3 désistements de dernière minute, le tirage au sort nous met dans une poule de 5 équipes et la D dans une autre de 4. Déjà on joue pas contre, c’est pas mal.
Le premier match arrive, excusez moi de pas avoir retenu le nom des équipes adverses…, et l’on commence avec une tactique en 2-2 qui va vite s’avérer mauvaise puisque nous prenons un terrible 5-0 d’entrée avec un changement total d’équipe au bout de 5 minutes de jeu. Ok je me suis loupé mais c’est pas grave, on va rectifier le tir. Malgré la lourde défaite le moral des troupes n’est pas atteint et nous voici déjà prêt pour le second match que nous allons gagner 3-2 avec une tactique en 1-2-1 qui semble mieux adaptée à cette configuration de jeu. Taxi1 en profite même pour se faire un nouvel ami qui va le surnommer l’allumette (ok mec, kestbubois ?).
Pas le temps de souffler et voilà le 3ème match qui se présente, on est pas mal mais on se prends un 5-2 un peu sévère mais pas immérité avec en face un super joueur qui nous a fait mal, surtout à Baka qui a du laisser un rein sur le terrain. Le moral en prends un coup, des petites tensions commencent à apparaître mais rien de bien méchant.
Pour le 4ème et dernier match de poule taxi 2 se dévoue pour remplacer Nicokingofthestreeptease dans la cage, ça par mal car nous encaissons 2 buts d’entrée mais on lâche rien et parvenons à finalement nous imposer 6-3 au courage et à l’envie.
Qualifiés pour les quarts mais malheureusement on fini 4ème à cause d’un goal-average trop défavorable ce qui nous vaudra de rencontrer nos potos de la D.
Petite pause, bière-pizza pour les moins sportifs, huddle puis photos les 2 cic ensemble conclu par un petit moulon bien sympathique et c’est partit pour ce duel fratricide.
Le match commence super bien car nous ouvrons le score rapidement, ce qui déclenchera quelques sourires à nos potos-adversaires (pas confiants les mecs…) pas trop du goût de philou de la D qui lui est à fond. Mais ça ne va pas durer, en face ça va trop vite, Marioloris est intenable, Batbeu nous fait un récital de maitrise technique, Max nous sort tout dans la cage, philou et jaja sont partout. Bref 8-4 au final, rien à faire et tout de même une certaine fierté d’avoir opposer une petite résistance à cette très belle équipe qui va remporter le tournoi en toute logique. Un regret par contre, ne pas avoir fait les bons changements au bon moment c’est à dire faire rentrer tonton, desbons, anthotupo et moi même tous dans la cage à 1-0 et là c’était pas la même…
Nous voici donc sortis du tournoi, place à de belles parties de contrée, encore quelques bières et surtout continuer à encourager la D pour les pousser à aller le plus loin possible mais ça vous le verrez dans la partie résumée par maitre Batbeu.
Départ vers 22h30, direction le pub pour les plus courageux, histoire d’achever cette bonne soirée.
Un grand merci à Manu pour l’invitation et aussi au club pour l’offre des frais de participation, rendez-vous bientôt pour de nouvelles aventures.
Bubu
Résumé vu par batbeu
Malgré l’ombre de la censure darmanienne qui plane désormais sur ce site, lieu de liberté d’expression footballistique à l’origine, je renouvelle un résumé. Celui-ci aura-t-il les faveurs du Prince ou sera-t-il coupé aux ciseaux comme le précédent ? Dieu seul le sait.
Tournoi à Carnoux en ce samedi soir douceureux de la fin mars. Deux terrains couverts et une dizaine d’équipes. Bienvenue au Temple du foot. Certes, le terme « temple » convient peu à cet endroit qui respire la chaussette et le néon défectueux. La tôle ondulée n’aurait pas convaincu non plus nos ancêtres romains, fabuleux architectes. Cependant, l’accueil est bon enfant et j’ai même le temps de boire une bière avant de commencer. Le CIC A est venu en nombre et se qualifie pour la suite des événements. Un espoir semble se dessiner dans leurs yeux comme dans ceux des enfants quand apparaît un cadeau rutilant. Le trophée leur tendrait-il les bras ?
Notre équipe gravit elle aussi les échelons en mêlant technique (Philou), élégance (Jaja), détermination (Lolo) et jeunesse (Manu a convaincu une jeune pousse d’Aubagne de faire le gardien avant l’arrivée de Maxence). Et votre serviteur me direz-vous ? J’essaie de percevoir si je suis inspiré, si le ballon me parle, si mon corps antique répond présent. Ça peut aller.
Quelques clopes, deux morceaux de pizza, un micro-malaise de Manu, une blague de Bubu et les phases finales se présentent. Le quart contre… le CIC A ! Une autre blague de Bubu ? Non, une équipe est bien là, devant nous, déterminée comme jamais mais déjà, une légère inquiétude se lit sur leurs visages. Avaient-ils pressenti la foudre divine qui allait s’abattre sur eux ? Pourtant, nos premiers amusements furent soldés par deux tremblements de terre : d’abord, un chauve crucifia notre portier d’un plomb magistral dans la lucarne. Ensuite, Philou nous remonta les bretelles comme jamais. J’avais envie de lui dire que jouer avec le sourire c’est important, que Pastore n’a jamais été aussi bon que lorsqu’il avait la banane, que Balotelli est un enfant et que c’est ce qui fait sa force, pareil pour Verratti, Ronaldhino, que tous ces talents prouvent que le travail est une belle connerie, que tout est affaire d’inspiration et de confiance en soi. Mais bon, c’était peut-être pas le moment. A partir de ce moment, nous jouâmes bien. La messe était dite tandis que les buts s’enfilaient comme des perles. Au final, 8-2. Tandis que, penaud, le CIC A regagne la buvette où les attend Bubu, je repense à Joseph jeté dans le puits par ses frères.
La demi-finale est très enlevée face à une équipe valeureuse de jeunes de Carnoux. Match nul 3-3 après une belle boulette de Lolo à 2 secondes de la fin du match. Penalty. Pas en odeur de sainteté en ce moment au CIC, ce genre d’exercices… Loris rate le premier mais met le second. Séance interminable mais comme ni Maxime ni Seb ne sont présents, nous nous qualifions.
Une finale contre une équipe de joueurs de ballon mais un peu au bout du rouleau. Nous l’emportons haut la main. Chant de guerre irlandais, photos, sourires. Une bonne soirée.
14 ème Tournoi des restos du coeur de Sainte Marguerite
Reportage by Alain le grand
Dimanche 1 er Décembre 2013 : 14 eme tournoi des restos du Cœur de Sainte Marguerite au stade Saint Tronc Didier
Le CIC a du cœur, et termine 13ème sur 14 équipes.
Le CIC V a du cœur
Tout commence avec un petit texto de notre coach ter gillou puisque le bis officiel est stephane qui en a ras le bol de perdre et qui décide de monter une équipe en béton armé pour un tournoi à 7 en plein mois de décembre afin d’aider les resto du cœur
Les vieux celtes répondent présent pour une si noble cause et le vendredi soir avant veille du tournoi une répétition générale est organisée aux camoins avec encore une défaite contre crimée mais nos 9 vaillants participants sont tous là prêts à en découdre
Nous avons donc sous les ordres de Gilles Stéphane le coach bis Virgile Lolobispo Camille Fred Alain le grand Alain K et Stecca Olivier qui est au taf le pauvre mais qui arrive pour le début
Donc en ce fameux vendredi soir gilles nous met un petit coup derrière la tête en nous annonçant que le rendez vous pour le dimanche matin c est 8 heures !!!
Allez on est vieux mais quand meme et c est donc vers 8 heures et demi que l on se retrouve à saint tronc didier mais oh surprise le terrain est gelé et sur le stade que des minots mais ou sont donc les vieux ???
Heureusement fred et camille sont là et le coach ter avec ses petits doigts gelés nous textote le bon stade, en avant pour le vallon de Toulouse toujours gelé et tout blanc mais cette fois les vétérans sont là. Merci Virgile pour ses croissants tous chauds et petit café à la buvette pour se réchauffer. Virgile gilles steph fred et camille sont deja chauds et en jogging. Je suis en jean et les autres sont perdus (hein Alain)
Pas de douche et pas de vestiaires mais 14 équipes prêtes à en découdre.
Gilles retrouve Alain qui arrivera en même temps que stecca et qui jouera gardien de but !!!!
Wéééééééééééééééééééééé
Tous motivés et au soleil on se pose sous un panier de basquet à coté de l’équipe de olivier le petit un ancien celtes que l on a eu plaisir à retrouver.
On se met en tenue et on se prépare pour une poule de 4 avec plan de cuques, vieux cypres et les collegues. Début de la première rencontre : 10h. Gilles nous donne la compo et coache montre à la main.
Nous jouons en 1 – 4 – 1
Steph en défense au milieu olivier et lolo sur les cotés fred et camille au centre et devant en renard des surfaces le grand.
Le match se passe bien au départ mais sur une erreur individuelle on perd le ballon et alain se fait fusiller
Oups je crois qu on est pas bien réveillés les gars
Bref défaite au bout des 12 minutes un à zéro avec une bonne douzaine de tirs hors cadre
Pas bien !!!
Nous décidons d’effectuer les 2 changements toutes les 4 minutes
Et là perte de la montre du coach
Re oups une défaite et une montre perdue
On décide de se remobiliser à la buvette avec les premières bières de la journée. Deuxième match et là super but plein de hargne de notre coach gilles qui se transforme en buteur miracle sur enfin un missile cadré qui a cassé la cage de notre adversaire.
Mais non les vieilles chattes ne gagneront pas et reculent et se font enfoncer sur une jolie attaque placée. Mais encore une fois tout n’est pas perdu on doit gagner le prochain match pour aller en quart.
MAIS NON on est là on est celte et on veut gagner ce tournoi
Le match de la qualification commence on joue bien on combine fred en super meneur de jeu décale lolo sur son aile gauche qui centre pour alain le grand qui ouvre le score ca part bien.
Puis inexplicablement on recule encore et encore
Aujourd hui on a plus le droit ni de reculer ni d encaisser de buts purée je le sentais bien moi ce tournoi je crois que l on a joué avec le cœur et pas avec les tripes les vieilles…
Enfin les celtes commettent 2 fautes péno et coup franc et paf paf 2 à 1 contre nous.
Wé
On n’ira pas en quart
Midi arrive et là deuxième catastrophe Il n’y a plus aucune bière à la buvette
ARGH on se rabat alors sur la boisson marseillaise par excellence et l on apprend que l on va jouer un match de classement à 15h pour la 13ème ou la 14ème place
Wééééééééééééééééééééé
Coach mimet arrive steph le boucher arrive photo puis repas au soleil
Discours puis mise en place tactique par les 3 coachs et en plus on joue devant tout le public pour cette petite petite petite finale alors tout le monde a conscience de l enjeu il est hors de question de perdre
Le message est passé et les vieilles chattes sortent leurs griffes
Tout le monde se bat et se rue à l’attaque. Sur un corner fred dépose le ballon sur la tete d alain le grand (voir photo) pour l’ouverture du score. Puis lolo trouvera le chemin des filets ( heureusement que tu t etais entrainé vendredi ) et oui 2 à 0
Hum ca sent le parfum de la victoire propre du clean shit mais non les amis on recule et notre EMSO en profite pour marquer un but
Aie aie aie mimet donne de la voix alain fait des miracles dans les bois gilles défend comme un diable il tente des retournés acrobatiques et tout et tout stecca court de partout virgile est impérial fred distibue des caviars et camille colmate les brèches
Steph blanc porte bien son nom et il joue meme comme un certain laurent du meme nom et oui on gagnera le match de classement
Ouf les celtes ont du cœur joli huddle et meme des bieres qui sont arrives entre temps pour feter notre victoire
Beau cadeau de la part du SCO organisateur du tournoi
Merci à tous les amis on a passé un bon dimanche. Alain le grand
Victoire Tournoi du Fair Play à Saint-Etienne
Résumé by Batbeu
Samedi 28 septembre 2013 : 4 ème Tournoi du Fair Play a Saint-Etienne :
Quatre buts et un enterrement
Les voies du Seigneur sont impénétrables. Qui aurait prédit qu’un tournoi de football à
Saint-Etienne – si médiocre fut-il – nous ouvrirait les portes du Ciel, mes frères ? Personne. Et
certainement pas moi.
Pourtant, une mission d’évangélisation footballistique s’offrait à nous. Porter la bonne parole d’un
football festif et offensif, certains diraient même dortmundien, tel était notre devoir. De plus, nous
étions treize. Douze apôtres et un Christ Rédempteur. Qui tiendrait ce rôle divin ? Ne serait-il pas
trop grand pour ses épaules ? Que nenni. Il portera le numéro 10 (pour cette fois seulement…). Il
sera grand (par la taille). Il sera noir (qui l’eût cru…).
Il court plus vite que Ben Ali.
Pour prendre ta place sur le terrain, il met du poison dans ton riz.
Pour cadrer une frappe, son ballon doit peser mille tonnes.
Tu l’as reconnu, c’est Milton !
Pff, co ! Pff, co ! Pff, coco ! Pff, cocotyeah !
Je m’égare, mes frères, et m’adonnant à la débauche de ce rap intersidéral, perds le fil de mon récit
biblique. Nous étions donc le bon nombre – à l’exception d’un frère malgache de petite taille
amateur de râteau – et l’impatience le disputait au sourire : évangéliser une ville abandonnée par le
bon goût et le football depuis les années 70.
Frère Max avait pris le volant. Départ 20h. Geste technique aussi sur l’autoroute : double
dépassement de poids lourd sur la gauche avec frôlement de rambarde. Respire. Saint-Christophe
veille sur nous, s’il te plaît ! Frère Jo, un peu rêveur, un peu stone, chihuahua sebago, manipulait un
pénis numérique sur lequel apparaissaient différentes sortes de nymphes. Allait-il nous quitter déjà
pour une autre religion ? Celle qui promet à ses martyrs un paradis peuplé de cent vierges et d’un
dictionnaire? Non. C’est votre serviteur qui devait tenir le rôle de Judas, abandonnant la confrérie
dès le samedi soir pour des raisons funèbres. Jésus avait eu l’excellente idée de porter du rhum et
cette boisson agricole – associée à l’encens de frère Jo il est vrai – nous permit de raccourcir le
trajet. Frère Zim quant à lui occupait la place du mort. Un peu comme sur le terrain. Un trou. Une
haie. Tandis que je m’assoupissais au rythme d’une musique pré-pubère, nous entrâmes de nuit dans
une ville fantôme : Saint-Etienne.
Le premier pub que nous fréquentâmes nous laissa pantois. Bout de trottoir en guise de terrasse,
bière aussi onéreuse qu’au Brady’s avec le choix en moins et décoration qui laissa frère Karim
inquiet : « Ya dé kask 2 policié est 2 ponpié, ont ait ché YMCA où koi ?! » Après une visite à
l’appart-hôtel où gaiement nous cachâmes une sandale de Jésus dans le frigo, nous voilà au second
pub, lieu hyper tendance de Sainté. Ché pas t’y as vu. Qu’importe. Nous bûmes en glorifiant le
Seigneur et brûlâmes nos cigarettes dont la fumée, vapeur divine, titillèrent les narines de Dieu. Ce
dernier est un fumeur de havanes. Nous le savons. Chacun s’était mis sur son trente-et-un : frère
Chini avait tondu cet espace indéfini que ses deux sourcils laissent en liberté, frère Jo arborait une
plaque qui attestait de sa participation à la guerre du Vietnam, frère Karim le fameux cuir-près-ducorps,
frère Max le fameux cuir-manches-retroussées, frère Zim le gilet court et frère Nico une veste
en jean. Une lubie protestante sans doute. Quant à votre serviteur, il était simplement élégant je
crois. Un trou. Une haie. En un mot, les apôtres brillaient de mille feux.
A quoi tient la laideur des habitants d’une ville ? Sans obtenir de réponses satisfaisantes, je ne
pouvais que constater que le Stéphanois est un être hybride et définitivement hideux. Mais pourquoi
donc ? Tandis que nous conversions mes frères et moi-même, Jésus fit la rencontre du plus grand
performer human beat box de l’histoire du rap. Indescriptible. Nos sangs s’échauffaient mes frères,
et soudain nous entrâmes dans la boîte de nuit qu’on appelle la Mine. Enseigne design inspirée du
jeu informatique le Démineur – mais oui il faut isoler toutes les mines pour pouvoir gagner,
souviens-toi ! – aussi élaboré qu’un jeu sur Amstrad cpc6128. La mine, le démineur : le patron est
un intellectuel. C’était de bonne augure. Des hommes évanouis sur les banquettes, exténués du fait
de leur existence stéphanoise sans doute, un dance-floor qui se transcende sur Louise Attaque. Trop
de bonnes nouvelles d’un coup : je pris une vodka-glace.
Dans la torpeur de la nuit, tandis que nous avions fini de zig-zaguer en ayant trouvé porte close au
Zig-Zag, je compris. La laideur, la mine. La mine, la laideur. Mais c’est bien sûr mes frères ! Cette
ancienne ville minière et industrielle a enfanté ses propres monstres n’offrant au soleil que des
visages difformes et tristes. Le charbon et sa noirceur a contaminé ces êtres pour des générations.
Frère Thomas – jeune recrue de la C donc pas encore multichampion un trou une haie – avait vu
juste : depuis le début, nous sommes dans un épisode de Walking Dead. Ils pensent encore
naïvement que le vert est la couleur de l’espoir. Pauvres diables ! Il était temps que notre confrérie
apporte un peu de lumière à cette contrée exsangue. Notre présence simple et généreuse leur laissa
entrevoir un avenir meilleur. Et encore, nous n’avions pas chaussé nos crampons.
Certains frères tentèrent d’évangéliser des nymphes de passage. Cela resta un échec. Le pénis
numérique semble autrement plus prometteur que la réalité semble-t-il.
Fin de soirée. Je piquais du nez dans la voiture quand soudain la lumière fut. Dieu pardonnait-il ma
trahison du lendemain par ce signe lumineux ? Nous indiquait-Il le chemin de cette auberge
américaine tant convoitée où les frites ne se décomposent jamais ? Non. Frère Max venait de se
faire flasher sur la route de notre dernier casse-dalle avant de se coucher. Boulange 6h du matin.
Frère Karim a le sang chaud et le regard de biais. Faut dire que le mec s’était un tantinet trop pris
pour un mec de l’UFC.
9h. Réveil d’autant plus difficile que face à Geoffroy-Guichard (ils ont donné le nom de leur stade
en hommage à un entrepreneur : misère!), le complexe sportif qui nous attend est vaste mais fait
pitié : café grand-mère à l’arraché, terrain stabilisé, équipes ventripotentes et surtout, pas de buvette.
Walking Dead. Chacun, dans les brumes matinales de la Loire et de son cerveau, se pose la même
question : est-ce que ça valait la peine de faire 300 bornes pour ça ? La victoire aidant les doutes
s’estompèrent.
Premier match : frère Karim se blesse à la cuisse et frère Jo s’ouvre la langue après un contact. Ce
ne sera pas une partie de plaisir… Et pourtant le chemin jusqu’à la finale se fera sans encombre à
l’exception d’une équipe qui joua les martyrs. A l’abri derrière cette nouvelle valeur creuse qu’est le
fair-play, ils nous firent le reproche d’avoir été brutaux, voire féroces. Certes il y eut la sortie de
Frère Nico qui fit beaucoup de bruit pour rien déblayant, avant la cheville de leur attaquant, tout
espoir stéphanois. A toujours dégainer l’étendard du fair-play à tort et à travers, on oublie que le
contact et la douleur ont du bon : ce sont les conséquences tangibles d’une rencontre avec l’Autre.
Un échange d’humanité en quelque sorte. Etienne fut le premier martyre de la Chrétienté. A trop
ouvrir sa gueule, il avait reçu des pierres. Et pas qu’un peu. C’était peut-être le souhait refoulé de
cette équipe que nous retrouvâmes en finale et à qui nous enfilâmes 4 buts. Qui sait ?
Nous avions accompli notre mission et le Seigneur nous récompensait en nous permettant d’accéder
au Graal de tout footballeur : une coupe en fer et en plastique.
Que retenir au final de cette aventure quasi religieuse ? Une victoire en finale 4-1 ? Au pays des
aveugles les borgnes sont rois. Une anecdote plutôt. Tandis que je finissais ma bière à la maison
associative de l’équipe organisatrice en compagnie de Bubu et d’une fille rousse qui accompagnait
l’équipe de Liverpool, cette dernière évalua avec une certaine assurance les compétences esthétiques
de notre confrérie. Une fois le classement établi, frère Bubu s’étonna de ne pas voir arriver Frère
Zim en tête. Elle répliqua : « le problème, c’est quand il parle. » Un trou. Une haie. Samba
La suite de la deuxième mythique soirée par Bubu a venir………………………avec LA SURPRISE
Saint-étienne suite et fin !
Faire un résumé après maitre batbeu s’apparente à faire l’amour à une femme après rocko siffredi… ça tombe bien, j’ai pas peur *:P Tirer la langue Donc nous en sommes resté au moment où mon cher batbeu allait nous quitter pour prendre un tram depuis la buvette du stade Geoffroy Guichard pour la gare de sainté via lyon et rentrer tard sur marseille pour pouvoir assister à un enterrement le dimanche matin.
Donc nous avons assez facilement gagné ce tournoi, merci à la belle équipe qui m’a accompagné ! La remise des récompenses se déroule dans le local des supporters stéphanois, nous arrivons un peu à la bourre car certains ont prit un malin plaisir à prendre du plaisir sous la douche (j’ai promis de ne citer personne dans ce reportage hein Milton..). Nous arrivons donc dans ce local au 1er étage, le président des supporters stéphanois nous fait un éloge et nous remet la fameuse coupe qui est toujours dans le lit de mon petit max Coulomp (je veux pas savoir ce que tu fais avec…). Là, super ambiance, on boit des coups, l’heure passe et je décide de réunir tout le monde pour aller se changer à l’hôtel qui doit se trouver à au moins 1/2 heure de route de l’endroit où nous sommes afin de revenir à temps pour aller au stade pour assister au match dans la nouvelle tribune sud du stade Geoffroy Guichard pour voir les locaux affronter Bastia. Je décide de rester avec maitre Batbeu (qui partira plus tard en tram) et surtout de boire un coup avec nos potes stéphanois et de Liverpool Paris. On notera tout de même que le prix du fair play a été attribué à nos adversaires en final, les pauvres ça fait 4 ans qu’ils échouent en final…
Donc je suis avec frère Batbeu, nos copines stéphanoises (dali et la rousse comme dit si bien mon frère) et là d’un coup mon téléphone sonne, je pense que c’était la 132ème fois de la journée… « Bubu c’est toi qui a les clefs de l’hôtel… » Oh minceeeeeeeee effectivement, donc retour de ma chambrée au stade pour récupérer le précieux sésame. Je leur file les places gracieusement offertes par nos amis stéphanois et continue mon apéro avec la branche de Liverpool en ayant pris le soin de faire une grosse bise à notre frère Batbeu. Récupération de la majorité de l’équipe et direction le chaudron après avoir bisé nos coupines dali et isa. Queue de folie, frère Zim voit un trou (houuuuuuuuuuu) et après une escalade furtive des tribunes nous voilà dans l’antre verte. Bonne ambiance, certains diront bonne enfant, le match est correct mais sans plus. Milton s’endort, on croise un Batman vert, sainté mène 2-0 assez logiquement et là c’est le drame ! Bastia revient à 2-1 et au bout du bout du temps réglementaire arrive a égaliser sur un but hors-heu d’au moins 1 mètres 50. Certains de chez nous sont contents, d’autres se moquent, perso je m’en fout un peu mais ça fait chier pour nos amis verts. On quitte le stade, je suis avec mes petits jeunes de la C, on se mange une bonne vieille andouillette oignons (top pour les intestins). Direction la fac de sainté et là c’est le drame, le petit frère est hésitant et on se retrouve dans la rase campagne stéphanoise, presque à heurter un sanglier voir une biche. Finalement on retrouve notre chemin (merci fraté) et nous voici de retour à l’hôtel. Je reçois mon 12857 ème coup de téléphone de la journée et là arrive la fameuse surprise dont notre maitre nous a parlé. Je reçois un texto : PRESENT ! En fait je suis sous la douche (on va pas faire le porc tout le temps non plus) et je reçois encore : PRESENT !!!!!!!!
Mon phacochère bièrebière est affalé sur le matelas, goalkeapeernico est endormi et cyrilcaissed’épargne ne vaut pas mieux. Je sors sur le balcon, voit le hummer mais il tombe des quenelles venues tout droit de Gerlan. Oh mon vier !!! Le truc c’est que nos amis stéphanois nous attendent depuis un moment, j’arrive à motiver les troupes et on descend rejoindre Bardy qui vient de se frapper 350 bornes juste pour faire la fiesta avec nous. J’arrive à motiver les 3 jeunes de la C et sur le coup on perd du monde qui devait partir tôt le lendemain (no reproches j’comprends). On se retrouve tous en bas vers minuit sous une pluie battante, nos potes stéphanois nous rejoignent. « Vous êtes dans quelle voiture ? » « Bah le hummer » Bruno : « Nan mais sérieux quelle voiture ??? » « bah quoi le hummer !!! » Et nous voilà partis tant bien que mal, direction LE LIDO, avec bardy karim cyril nico et bubu dans le hummer, les 3 potos de la D et dans une autre voiture Juju, bruno et 2 copines stéphanoises. On part, un peu trop vite apparemment et on perd la voiture de la C. Mon téléphone sonne pour la 45321 ème fois et finalement on arrive à se retrouver (miracle). Entre temps je reçois mon 45322 ème coup de téléphone de la journée (vous avez vu j’ai suivi le chiffre) et une des filles a pour rêve de faire un tour dans le hummer. Je dis ok, on la voit arriver en courant sous la pluie (tombe tombeeeeeeeee) et nico se dévoue pour lui laisser la place et monter avec les autres. C’est partit direction le lido, on sait pas trop où on va, apparemment c’est loin et notre « invitée » qui est arrivée avec une bouteille de contrex vodka orange commence à nous chambrer : « hey les marseillais vous zêtes des ptits joueurs surtout toi l’arabe ! » oki fille tu vas te calmer sinon on va jouer à : « enculé celui qui ouvre la fenêtre ! » Et là je regrette vraiment d’avoir rendu à la nature l’andouillette dont on a parlé avant. Bref on arrive tant bien que mal à la boite, heuuuuuuuuuu j’ai dis boite ??? On nous fait garer à bab el oued sous la pluie, madame vodka-orange-contrex commence à marronner, cyril refuse de lui prêter sa veste pour la couvrir (il a bien fait!!!!lol) et donc nous voilà arrivés devant cette fameuse boite de nuit. Il faut vous dire que nos amis stéphanois avaient réservé dans l’après midi et qu’ils nous avaient prévenu qu’il fallait être bien habillés et pas en basquetteeeeeeeeee. A l’arrivée nous sommes 4 en basquetteeeeeeeeeee (mes potos de la c et moi) mais relativement bien habillés, ce qui intéresse le videur c’est que nous sommes avec 2 maghrébins et là on pouvait rentrer pied nus, leur attention était focalisée !
Donc nous rentrons, on se cotise pour prendre plusieurs bouteilles, vodka et whisky, l’atmosphère est bon enfant, nous avons une table réservée donc on s’installe tranquillement.
Le début de soirée est assez posé, perso je suis fatigué d’enchainer une 2ème soirée d’affilé, je pense que cyril nico et karim sont pareils et à force de discutions et de bouteilles nous nous débridons peu à peu. En face c’est du grand n’importe quoi, moyenne d’âge 45 ans (oh merde bardy c’est pour toi).. Le DJ nous fait honneur, ça continue à boire, recensée 7 bouteilles de vodka et 2 de whiskys, ce qui me vaudra une réflexion de mon pote julien : « vous m’avez fait trop boire ! » On a passé un super moment avec bruno de sainté, les filles étaient sympas, sauf une qui était dépressive.
Fermeture de l’établissement dans 5 minutes ! (mon vier gégé tu fais de la pub à sainté ou quoi ???)
On dit au revoir à nos amis de sainté, jamais adieu on va très vite se revoir. Certes nous sommes marseillais mais on sera toujours ensemble pour faire la fête.
Retour vers l’hôtel, cette fois l’after sera une boulangerie ! Croissants, pains au chocolat, sandwichs et cafés feront notre affaire.
Un peu de dodo, un réveil en douceur par bardy : « owwwwwwwwwwww mon vier j’ai assez dormi je suis en forme ! »
Départ pour marseille, on regarde la météo avant de partir, on va se prendre la chavanne tout le long !
On laisse les jeunes dormir, je monte dans le hummer avec bardy, on se suit. Arrêt sur une aire d’autoroute, quick au menu. Nous sommes tous faibles de ce beau week-end stéphanois, je m’endors comme une merde sur la fin alors que je me sentais vaillant.
Bardy me laisse chez moi, je suis content car tout le monde est rentré chez soi et que j’ai le sentiment d’avoir accompli ma mission !
Merci à tous d’avoir participé à ce déplacement, il restera pas dans les annales footballistiques mais vraiment on a passé un bon moment. Vous en pensez quoi ? BUBU









